Impacts médicaux des politiques sanitaires Covid et ARN modifié, mars 2024

La vitamine D contre le Covid, L’ivermectine soigne bien le Covid, Le Vidal signale enfin les dangers de la vaccination Covid, Les erreurs et magouilles du protocole Covid, Le Covid était une grippette, Le SRAS-Cov2 a bien été créé en Laboratoire, Nouveaux Effets Indésirables post-vaccination Covid, Effet aggravant et absence d’efficacité des vaccins Covid …


La vitamine D contre le Covid …

À quel point le monde doit-il se sentir stupide, après avoir dépensé des centaines de milliards en vaccins anti-Covid qui ont échoué, seulement pour qu’une méta-analyse évaluée par des pairs de 7 essais contrôlés randomisés démontre que la prophylaxie à la vitamine D était associée à : réduction de 60% des cas de COVID-19, réduction de 68% des admissions en soins intensifs et 84% de réduction des décès. Les preuves sont désormais claires et sans équivoque : une simple prophylaxie vitaminique (s’exposer un peu au soleil ou prendre un supplément) pour s’assurer de ne pas avoir de carence en vitamine D était nettement plus efficace que la « potion magique » que les gens étaient obligés de s’injecter dans le corps. Études : Preventive Vitamin D Supplementation and Risk for COVID-19 Infection: A Systematic Review and Meta-Analysis et Vitamin D for COVID-19 : real-time meta analysis of 311 studies


L’ivermectine soigne bien le Covid …

La plus grosse étude financée pour démontrer l’inefficacité de l’ivermectine n’y parvient pas. J’aimerais revenir sur l’étude Principle déjà évoquée dans des précédents billets, car c’est un cas d’école. Le Dr Pierre Kory (USA) qui l’a bien décortiquée, parle de fraude.

  • Alors que Principle qui a testé également d’autres produits, a publié ses résultats dans les quelques mois qui ont suivi la fin des études, pour l’ivermectine il a fallu presque deux ans pour permettre aux biostatisticiens de trouver une présentation des résultats permettant de conclure à un échec alors que c’est l’inverse.
  • Bien que tout ait été fait dans cette étude pour cacher l’efficacité de l’ivermectine, on obtient exactement l’inverse : dans tous les cas on a une disparition plus rapide des troubles de l’ordre de 15 à 30 %. (baisse de l’age des patients, interruption de l’étude pour cause d’approvisionnement, prescription tardive, sous-dosage, etc.)

Accord historique entre la FDA et les plaignants : La justice tranche, la FDA doit supprimer ses posts sur les réseaux sociaux incitant à ne pas utiliser l’ivermectine contre le COVID19. Entretien avec Pierre Kory. On se souvient que la FDA avait assimilé l’ivermectine à un remède exclusivement réservé aux chevaux, ce qui est totalement faux. Cet anti-parasitaire a d’abord été un médicament destiné aux êtres humains.


Le Vidal signale enfin les dangers de la vaccination Covid …

Mise à jour Vidal (guide de référence des professionnels de la santé) au 21 février 2024 au sujet des vaccins Covid. C’est pas joli joli. ❌ Le vaccin n’a pas été testé ni sur les personnes immunodéprimées (C’est à dire celles que nous étions sensées protéger). ❌ on ne connaît toujours pas la durée de protection. (No comment – surtout après 3 ans!). ❌ il existe un risque ACCRU de myocardites et péricardites (Et non pas de très rares cas comme annoncé et dit en large et en travers par les médias et les faux matheux). ❌ pas de test effectué sur les risques de génotoxicité ni de cancérogénicité. (bizarre et INCOMPRÉHENSIBLE pour un composé à ARNm …)

  • Il existe un risque accru de myocardite et de péricardite après vaccination par Comirnaty. Ces pathologies peuvent se développer en l’espace de quelques jours seulement après la vaccination, et sont survenues principalement dans les 14 jours. Elles ont été observées plus souvent après la seconde vaccination, et plus souvent chez des hommes plus jeunes (voir rubrique Effets indésirables).

Les erreurs et magouilles du protocole Covid …

Le ministre fédéral de la Santé, Karl Lauterbach (SPD), a admis : « La plus grosse erreur a été que nous étions parfois trop stricts avec les enfants » (C’est lui qui a poussé le confinement). Cela a été possible parce qu’il y avait un manque de contrôle parlementaire. Merkel avait « créé un organe hors constitution » avec les premiers ministres. C’est ce qu’a déterminé une commission d’experts du Bundestag à l’été 2022. À ce jour, rien ne prouve que le confinement ait eu un effet positif sur le processus d’infection, c’est-à-dire qu’il ait stoppé la propagation du virus. Ce n’était et n’est qu’une affirmation. Le gouvernement fédéral n’a collecté aucune donnée à ce sujet et ne le fait toujours pas. Les politiciens, les médecins et les fonctionnaires impliqués hésitent à accepter leur politique corona comme le diable évite l’eau bénite.

Tout n’était que marketing et relations publiques : l’OMS a payé des influenceurs pour présenter la gestion de la pandémie de manière positive. l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a payé la célèbre société de propagande Hill and Knowlton Strategies (incubateur mensonger avant la guerre en Irak, lobby du tabac) pour présenter au public sa propre stratégie Corona de la manière la plus positive possible. L’agence de relations publiques recherchait activement des « influenceurs » susceptibles de « renforcer positivement » les messages de l’OMS sur la pandémie du coronavirus. Dans une véritable pandémie, de telles stratégies seraient totalement impensables. La nouvelle selon laquelle l’OMS utilisait une usine de propagande notoire pour diffuser le récit de la pandémie était connue depuis le milieu de l’année 2020. Malheureusement, cela n’a pas intéressé les journalistes des grands médias. Ils ont soutenu une opinion uniforme au lieu d’être avides de vérité et de faire des recherches avec un esprit ouvert.


Le Covid était une grippette …

Après avoir semé la PEUR et FORCÉ les gens à prendre un vaccin expérimental inutile, Gates admet aujourd’hui que le coronavirus a un «taux de mortalité assez faible» et que le Covid19 était finalement une petite grippette.


Le SRAS-Cov2 a bien été créé en Laboratoire …

Dans un article du 25 janvier 2024 du City Journal, l’écrivain scientifique, rédacteur en chef et auteur Nicholas Wade détaille de nouvelles preuves obtenues par US Right to Know (USRTK) qui renforcent encore la théorie selon laquelle le SRAS-CoV-2 a effectivement été créé en un laboratoire. Comme l’a noté Wade, c’est la principale raison pour laquelle personne, malgré des efforts de tests massifs, n’a été en mesure de trouver le SRAS-CoV-2 chez un animal sauvage, chauve-souris ou autre. Cela n’a jamais existé dans le monde naturel, seulement en laboratoire.


Nouveaux Effets Indésirables post-vaccination Covid …

Génération de signaux de sécurité pour la perte auditive neurosensorielle soudaine suite à la vaccination à ARN messager contre le COVID-19 : surveillance post-commercialisation à l’aide de la base de données de déclaration spontanée de pharmacovigilance française … L’Organisation mondiale de la santé a récemment décrit la surdité neurosensorielle soudaine (SSNHL) comme un effet indésirable possible des vaccins contre la COVID-19. De récentes études pharmaco-épidémiologiques discordantes invitent à des investigations cliniques approfondies sur les SSNHL après les vaccins à ARN messager (ARNm) contre la COVID-19. Cette étude de surveillance post-commercialisation, supervisée par les autorités de santé publique françaises, est la première à documenter cliniquement les SSNHL post-vaccination et à examiner le rôle des facteurs de risque potentiels.


Effet aggravant et absence d’efficacité des vaccins Covid …

Une étude conclut à l’absence d’efficacité des vaccins covid-19 et à un effet aggravant de la vaccination sur la maladie dans de nombreux cas. Une seconde analyse indépendante des données des 30423 patients soignés à l’IHU Méditerranée Infection conclut à l’absence d’efficacité des vaccins covid-19. Ce n’est donc pas une étude, mais deux que l’équipe pluri-disciplinaire de scientifiques réunis autour du Prof. Christian Perronne ont publié en février 2024. Lounnas, Gkioulekas, Rendell, Lacout, Azalbert et Perronne, ayant analysé de manière autonome et indépendante les données des 30’423 patients soignés dans le pôle maladies infectieuses de l’AP-HM (Assistance Publique Hôpitaux de Marseille) situé dans l’IHU Méditerranée Infection, se sont intéressés de près aux données disponibles de vaccination covid-19.

« Comment les industriels ont dissimulé les effets indésirables graves des vaccins anti-Covid »

  • Que révèlent les essais pivots sur la mortalité globale ? Après avoir soigneusement analysé l’ACM (all cause mortality – mortalité toute cause) pour les essais Pfizer et Moderna, Benn et ses collègues ont trouvé 61 décès au total (31 dans le vaccin, 30 dans le placebo) et un RR de mortalité de 1,03 en comparant les vaccinés au placebo [52]. Ces résultats peuvent être interprétés comme « aucune différence significative » ou aucune preuve de référence montrant que ces vaccins ARNm réduisent la mortalité.
  • Même l’essai de six mois de Pfizer n’a pas réussi à montrer une réduction de la mortalité toutes causes confondues. En effet, une nouvelle analyse des données post-commercialisation fournies à la FDA suggère l’effet inverse.
  • Selon un document confidentiel de 393 pages demandé par l’EMA et publié en août 2022 [114], Pfizer avait alors documenté environ 1,6 million d’EI couvrant presque tous les systèmes organiques [114, 252,253]. Un tiers des EI ont été classés comme graves. Parmi les nombreuses découvertes, on compte 3 711 tumeurs, 264 catégories de troubles vasculaires (73 542 cas au total), plus de 100 000 troubles sanguins et lymphatiques, 127 000 troubles cardiaques (dont 270 catégories de lésions cardiaques en plus de la myocardite et de la péricardite), 77 000 troubles psychiatriques (dont les psychoses, la dépression, le suicide et les comportements suicidaires) et des centaines de catégories de troubles neurologiques (696 508 cas au total), dont beaucoup sont considérés comme très rares, ce qui indique clairement qu’il existe des risques graves.