Dossier – Écologie & Climat

Énergie, Écologie, Habitat, Nutrition et Climatologie, sujets à débattre ?

Le CO2 a bon dos (cliquer pour lire)

La théorie qui fait du gaz carbonique le responsable du réchauffement climatique nous vient d’un organisme appelé le GIEC sur lequel s’appuient les politiques pour dicter de nouvelles lois « écologiques » pour « sauver » la planète.

Le GIEC s’appuie sur un panel de scientifiques produisant des rapports obscures, mais comprend surtout à sa tête un panier de politiques qui produisent des conclusions définitives et qu’il est interdit de discuter, sous peine d’être taxé de dangereux complotiste. Or, il n’y a pas de consensus scientifique ni de preuve pour certifier que le CO2 est le responsable des hausses de température, bien au contraire.

Le CO2 existe en quantité infime dans l’atmosphère, et la part du CO2 produit par l’homme en est une portion encore plus infime. Le CO2 est bon pour la planète, et un excès de CO2 est un booster pour l’agriculture. Il n’y a d’ailleurs pas de corrélation entre augmentation des températures et augmentation du CO2 : soit les courbes sont totalement décorrélées, soit c’est l’augmentation de température qui précède l’augmentation de CO2.

Les changements climatiques sont un cycle naturel de hausses et de baisses des températures, et sont essentiellement causées par le rayonnement solaire et la masse de nuages, 2 paramètres bizarrement absents des équations du GIEC qui nous prédisent un avenir proche de l’enfer, avec une marge d’erreur officielle de 270%, c’est dire à quel point cet organisme n’est pas crédible.

Alors à cause de ce CO2, il faudrait détruire l’économie européenne qui pollue, empêcher les citoyens de vendre ou louer leur habitat classé G et bientôt F, supprimer les voitures pour les remplacer par des voitures électriques qui polluent encore plus, en finir avec l’élevage à cause du pet des vaches et manger des poudres d’insectes à la place des farines … et pourtant, la production mondiale de CO2 continue d’augmenter, pendant que l’ Europe s’enfonce dans la misère.

Concernant l’agriculture, le pet des vaches n’est qu’un prétexte au délire capitaliste, puisque dans le même temps, l’UE établit des accords de libre-échange avec le monde entier, qui vont d’une part augmenter la production de CO2, et tuer les paysans à qui on impose des normes de production draconiennes qui ne sont pas appliqués dans les pays exportateurs …

Quelle blague, non ?

L’électrique c’est fantastique (cliquer pour lire)

Va-t-on sauver la planète en passant au tout électrique ? Rien n’est moins sur … Le remplacement des voitures à énergie fossile par des véhicules électriques, par exemple, ne tient pas ses promesses écologiques, même en supposant que l’histoire du CO2 responsable du climat ne soit pas une arnaque.

  • L’industrie des batteries électriques est extrêmement énergivore et peu écologique, sans parler de l’exploitation humaine des enfants dans les pays africains. On dit qu’il faut au moins 130’000 km pour que la construction d’un véhicule électrique (VE) commence à rentabiliser sa dette CO2. Or, à cause de son autonomie limitée, les VE sont généralement utilisées pour de petits parcours en ville, et donc le bilan n’est pas positif. Pire, la réparation d’un VE étant généralement complexe à cause des batteries, le VE part volontiers à la casse dès le premier accident même minime.
  • D’un point de vue énergétique, il ne sera sans doute pas possible d’alimenter une flotte considérable de VE car le réseau électrique tel qu’il est aujourd’hui n’y suffit pas. Comme la France a plus ou moins laissé tomber sa production d’énergie d’origine nucléaire, sous l’influence de l’Allemagne jalouse qui subventionne les ONG pour torpiller le nucléaire français, il faudra, comme en Allemagne, s’appuyer sur l’industrie du charbon, ce qui est paradoxale quand l’objectif est de diminuer la production de CO2. Vaste farce.
  • Les inconvénients sont donc nombreux et rédhibitoires. Ajoutons que quand les VE prennent feu, ce qui n’est pas rare, les incendies sont extrêmement difficiles à maitriser, et nécessitent des quantités d’eau astronomiques. On mentionne plusieurs cargos qui ont été coulés par le fond à cause d’incendies de VE qu’il était impossible de maitriser.
  • D’un point de vue économique, les VE sont très chers et pas à la portée de toutes les bourses, ce qui est un problème pour les gens vivant hors de grandes métropoles, où la voiture est indispensable, d’autant que nos gouvernements comment à interdire l’accès aux villes (ZFE) aux véhicules à énergie fossile. Pire, cette transformation écologique va détruire l’industrie automobile européenne et dérouler le tapis rouge aux constructeurs chinois …

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