Déboires de la démocratie et de l’économie en Macronistan, Octobre 2022

Lorsque la France se transforme en laquais des Etats-Unis et de l’Union Européenne, ne tient plus compte de l’avis de ses concitoyens, et adapte l’économie au profit des ultra-riches sommes-nous toujours en démocratie ?


Gaël Giraud, directeur de recherche au CNRS : « Macron est sous la coupe de Rothschild pour un projet eschatologique. Rothschild a une revanche à prendre sur la nationalisation de 1981 »

« Macron exécute un programme qui lui est dicté par Rothschild, c’est la privatisation du monde et la destruction de l’État social. »


La censure élargit son domaine de prédation. Rumble a refusé de supprimer les chaines RT France et quelques autres, donc le Média entier est interdit.. Heureusement, Norton VPN me permet d’y échapper (je suis virtuellement exilé en Suisse).


49.3 : en prenant la main sur 90 milliards d’euros de cotisations de l’Agirc-Arrco, l’Etat se donne les moyens de s’accaparer le patrimoine de plus de 50 millions de Français et 2 millions d’entreprises. Il fait ainsi le choix de la facilité face au déficit persistant des comptes sociaux, en démantelant et en se servant de fait dans les caisses d’un régime pourtant bien géré.

Bien sur, l’opposition factice et complice créé plusieurs procédures de destitution (RN/Nupes) qu’elles ne voteront pas ensemble (ou exceptions), ou refuse de voter (LR).


Un nouveau règlement confie à von der Leyen le pouvoir d’instaurer un pass vaccinal en France.

Un nouveau transfert de souveraineté vient d’avoir lieu en toute discrétion au profit de la Commission Européenne.


Les ultra-riches, ça concerne 43 milliardaires en France, ont gagné 237 milliards d’euros entre mars 2020 et octobre 2021.

Les cinq premiers, Arnault et consorts, ont doublé leur fortune pendant la crise sanitaire en captant, pour l’essentiel, de l’argent public, grâce aux plans d’aide (source Oxfam).


160 milliards d’aides publiques par an : un « pognon de dingue » pour les entreprises … reste à voir la répartition entre Multinationales et PME, mais sûr que celles-là touchent plus que celles-ci …

C’est un secret bien gardé à Bercy : le montant des aides publiques dont bénéficient les entreprises. En mai 2018, Gérald Darmanin, alors ministre de l’action et des comptes publics du gouvernement d’Édouard Philippe, avait certes évoqué le chiffre de 140 milliards d’euros par an. Un montant impressionnant qui ferait des aides aux entreprises le premier poste du budget de l’État. Mais depuis, silence radio. Le ministère de l’économie et des finances ne veut rien communiquer dans le détail à ce sujet, au motif que « les chiffres sont trop difficiles à articuler », nous a-t-on fait savoir lors de la présentation du projet de loi de finances 2023, le 26 septembre.