Facebook reconnait avoir eu tort de censurer l’HCQ

Facebook admet avoir eu tort de censurer l’HCQ, mais de quel droit l’a-t-t-il fait ? Combien de morts auraient pu être évitées ?

Le site Web c19study.com fait le suivi des études sur le traitement du coronavirus avec l’HCQ : 237 études, dont 171 ont fait l’objet d’un examen par les pairs, montrent que 67 % des patients se sont améliorés dans les essais de traitement précoce.

Une nouvelle étude publiée dans l’American Journal of Medicine en janvier a révélé que le traitement précoce des patients atteints du coronavirus par l’hydroxychloroquine a réduit le taux de mortalité de ces malades.

L’étude a révélé que l’utilisation immédiate de l’HCQ, alors que le patient était encore à la maison, présentait des avantages importants. Il s’agit de la plus récente étude qui montre l’efficacité de l’HCQ dans le traitement du coronavirus.

Depuis plusieurs mois, le site Web c19study.com fait le suivi des études sur le traitement du coronavirus avec l’HCQ. Selon c19study.com, 237 études, dont 171 ont fait l’objet d’un examen par les pairs, montrent que 67 % des patients se sont améliorés dans les essais de traitement précoce.

Facebook a précédemment supprimé un article sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine qui, selon lui, « contribue au risque imminent de préjudice physique » en France. 

Facebook a annoncé aujourd’hui que c’était une erreur.

Mais la censure est-elle vraiment une erreur ? Et combien de centaines de milliers de victimes ont-elles été tuées à cause des fausses déclarations du Dr Fauci, du CDC et des géants de la technologie sur l’hydroxychloroquine ?