Démocratie ou Dictature, that is the Question – année 2021

Les contraintes sanitaires vécues depuis 18 mois sont devenues tyranniques et absurdes. On a le droit de poser la question : est-on toujours en démocratie. Il y a 2 types de réponses, la réponse philosophique ou tout simplement le bon sens … Au-delà du délire sanitaire, au regard par exemple des élections, sommes-nous toujours dans un système démocratique ?


François Asselineau le 19/11 : Programme électoral de l’UPR pour l’élection présidentielle de 2022

J’ai présenté mon programme présidentiel lors d’une conférence de presse le 19 octobre. J’ai même été le 1er candidat, et jusqu’à présent le seul, à le faire. Les médias refusent d’en parler mais vous le trouverez ici :

Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’FRANÇOIS ASSELINEAU PRÉSIDENT #FA22 #FA22 MES 27+1 ENGAGEMENTS ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLE ET LÉGISLATIVES DE 2022’


Le 18/11 : Le non-respect des referendum est aussi une indication nette que la démocratie n’existe plus. Nous sommes régis par l’Union Européenne, et si un peuple le refuse, on s’assoit sur son vote.

Peut être une image de texte qui dit ’Les promesses des partisans du Oui au Traité de Maastricht (juillet-septembre 1992) Si le Traité était en application, finalement la Communauté européenne connaîtrait une croissance économique plus forte, donc un emploi amélioré. (Valéry Giscard d'Estaing, RTL, 30.7.92) Le traité d'union européenne se traduira par plus de croissance, plus d'emplois, plus de solidarité.» (Michel Sapin, ministre socialiste des finances, Le Figaro, 20.8.92) «L'Europe, ce sera plus d'emplois, plus de protection sociale et moins d'exclusion. (Martine Aubry à Béthune, 12.9.92)’


Observatoire du mensonge : Contrainte sanitaire ou dictature ?

Dans tous les cas, il faut faire confiance au bon sens de chacun et vite rétablir la responsabilité individuelle. Ou, alors, appelons un chat, un chat, et l’on peut dire, sans beaucoup se tromper, que nous sommes, effectivement, en dictature : il n’y a pas d’autre mot pour nommer la situation actuelle que nous subissons, contraints et forcés.

Il faudra bien, à un moment donné, rappeler le droit et cette jurisprudence : « La liberté est la règle ; la restriction, l’exception.  » Et cette exception, dans une démocratie normale, doit être sérieusement ciblée et justifiée de façon imparable ! Dans le délire ambiant, tragiquement entretenu par un gouvernement aux abois, mort de trouille, qui installe la peur et des médias aux ordres et une démocratie en déliquescence, on est très loin de cette jurisprudence.

Qu’elle soit sanitaire ou non, une dictature reste une dictature. Claude Picard


L’actu Citoyenne : L’analyse d’une essayiste: «C’est peut-être là que commence la dérive totalitaire»

Ingrid Riocreux : On entend des choses du genre :  » Vous parlez de dictature sanitaire, allez voir en Corée du Nord et là, vous verrez une vraie dictature. « » «Voilà exactement. Comme si, en fait, tant qu’on n’en est pas à la situation de la Corée du Nord, on n’a pas à se plaindre. Ou alors le jour où l’on passera en dictature, on nous préviendra la veille et on nous dira :  » Attention, demain, on passe en dictature.  » Moi je trouve que c’est intéressant de penser à ce qu’écrit, par exemple, la philosophe Simone Weil. Elle dit que dans un régime de liberté, la contrainte est toujours justifiée, compréhensible et cohérente.»

Quand on nous dit ce slogan :  » On peut débattre de tout, sauf des chiffres.  » Je suis désolée mais c’est faux. Bien sûr qu’on peut débattre des chiffres, justement, il faut en débattre. Depuis le protocole qu’on utilise pour les établir jusqu’à l’interprétation qu’on en fait. Le fait qu’un chiffre en lui-même ne veut rien dire. Quelle proportion représente-t-il ? Etc. C’est quand même des questions que l’on doit se poser, justement, quand on est un esprit libre.»