Encore une étude randomisée qui prouve l’efficacité de l’hydroxychloroquine contre la Covid-19 … on en est à plus de 300 études … Mais on va encore trouver une raison de continuer à interdire ce traitement précoce …
Pourtant, on voit les limites des « vaxxins », aussi bien en terme de % de réussite que de résistance aux variants, sans parler des effets secondaires …
Notons quand même que ce n’est pas le protocole Raoult qui a été utilisé, malheureusement (HCQ + Azithromycine). Les résultats auraient été meilleurs !?
IJID : Positive impact of oral hydroxychloroquine and povidone-iodine throat spray for COVID-19 prophylaxis: An open-label randomized trial
Methods
Un essai contrôlé randomisé parallèle ouvert a été réalisé parmi des travailleurs migrants en bonne santé mis en quarantaine dans un grand dortoir à plusieurs étages à Singapour. Quarante groupes (chacun défini comme des étages individuels du dortoir) ont été assignés au hasard pour recevoir un régime prophylactique de 42 jours d’hydroxychloroquine orale (400 mg une fois, suivi de 200 mg/jour), d’ivermectine orale (12 mg une fois), de povidone- spray iodé pour la gorge (3 fois/jour, 270 µg/jour), association orale zinc (80 mg/jour)/vitamine C (500 mg/jour), ou vitamine C orale, 500 mg/jour. Le résultat principal était la preuve en laboratoire de l’infection par le SRAS-CoV-2, comme indiqué par : (1) un test sérologique positif pour l’anticorps SARS-CoV-2 au jour 42, ou (2) un test PCR positif pour le SARS-CoV-2 à tout moment entre la ligne de base et le jour 42.
Results
Un total de 3037 participants asymptomatiques (âge moyen, 33,0 ans ; tous les hommes) qui étaient séronégatifs au SRAS-CoV-2 au départ ont été inclus dans l’analyse principale. Le suivi était presque complet (99,6%). Par rapport à la vitamine C, des réductions significatives du risque absolu (%, intervalle de confiance de 98,75 %) ont été observées pour l’hydroxychloroquine orale (21 %, 2 à 42 %) et le spray pour la gorge povidone iodée (24 %, 7 à 39 %). Aucune différence statistiquement significative n’a été observée avec l’association orale zinc/vitamine C (23 %, –5 à +41 %) et l’ivermectine (5 %, –10 à +22 %). Les interruptions dues aux effets secondaires étaient les plus élevées parmi les participants ayant reçu une combinaison zinc/vitamine C (6,9%), suivis de la vitamine C (4,7%), de la povidone-iode (2,0%) et de l’hydroxychloroquine (0,7%).
Conclusions
La chimioprophylaxie avec de l’hydroxychloroquine orale ou un spray pour la gorge à base de povidone iodée était supérieure à la vitamine C orale pour réduire l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les hommes jeunes et en bonne santé.