20 bonnes raisons de refuser la vaccination obligatoire anti-covid par Kairos

La vaccination obligatoire contre le covid-19, qu’elle soit recherchée de façon perverse via un pass sanitaire, une propagande éhontée et culpabilisante ou, prochainement peut-être, par un projet de loi, est légalement, scientifiquement et philosophiquement illégitime pour toute une série de raisons …

Kairos : 20 bonnes raisons scientifiques et éthiques de refuser la vaccination obligatoire anti-covid

Les sources citées (i) dans ce document ne sont qu’une infime partie des sources renvoyant à des références scientifiques qui démontrent l’absence de pertinence sanitaire, juridique et morale d’une vaccination obligatoire.

  • Ces injections sont expérimentales(1).
  • Le contenu de ces produits est de qualité questionnable(2).
  • De quel droit devrait-on se faire injecter sous la contrainte un produit expérimental?
  • Les risques sanitaires liés au covid chez les jeunes en bonne santé sont extrêmement faibles. Les jeunes disposent d’une immunité naturelle avérée contre le covid-19. Le rapport bénéfices-risques sanitaires pour les jeunes en bonne santé est quasiment nul, voire négatif(3).
  • Les risques sanitaires liés au covid pour la plupart des personnes en bonne santé sont très faibles(4).
  • Ces risques sont encore plus réduits avec une prévention et une prise en charge précoce adaptées(5).
  • Ces injections ne sont pas sans risques(6).
  • Les promoteurs de la vaccination obligatoire semblent considérer les victimes d’accidents post-vaccinaux (décès, handicaps, même rares) comme des sacrifices nécessaires. Or le sacrifice personnel relève d’un choix individuel ; imposé par la société, il devient criminel. L’efficacité réelle de ces vaccins est encore à l’étude(7).
  • Concernant la sûreté à court et moyen terme de ces produits, il existe un sous-reporting des accidents post-vaccinaux pour différentes raisons (patients et médecins qui ne reportent pas les effets post-vaccinaux)(8).
  • Malgré ce sous-reporting, les effets post-vaccinaux rapportés sont déjà largement supérieurs à ceux qui ont suivi tout autre vaccin antérieur(9).
  • La sûreté à moyen et long terme de ces produits est par définition encore inconnue(10).
  • L’argument central pour convaincre jeunes et moins jeunes de se faire vacciner est l’« altruisme » : il s’agit de prévenir la contamination de l’entourage ; or certaines études tendent à montrer que les vaccinés restent tout aussi contaminants (charge virale au minimum identique) : la vaccination anti-covid n’empêchant pas la transmission virale, cet argument de l’altruisme tombe à plat : quels sont dès lors les fondements d’une obligation vaccinale(11) ?
  • L’obligation vaccinale est injustifiable dans un contexte où, outre des statistiques questionnables, tout n’a pas été mis en œuvre pour soigner, avec pour conséquence de nombreux décès liés directement à ces négligences coupables : on a en effet observé des obstacles à l’accès aux soins durant le premier confinement ; le rejet d’une approche préventive ; un frein au recours aux antibiotiques(12) alors que beaucoup de décès liés au covid surviennent pas surinfection bactérienne(13)
  • L’usage excessif du principe de précaution pour l’ivermectine et autres traitements précoces aux résultats encourageants, tandis que ce même principe de précaution a été abandonné dans le cas des injections ; l’absence de refinancement positif du secteur hospitalier, etc. Les pratiques contestables du secteur pharmaceutique sont notoires (nombreuses condamnations passées). Comment leur accorder une confiance aveugle avec ce lourd passé(14) ?
  • Le consentement individuel éclairé et sans coercition est un principe légal dérivé des droits et libertés fondamentales(15).
  • Mon droit sur mon propre corps est un droit inaliénable qui relève de la dignité de l’être humain, principe duquel découlent tous les droits humains : quel argument justifie de balayer ces principes fondamentaux, sans même examiner les implications plus larges de cet abandon du droit de l’individu sur son corps et du consentement individuel ? Pour ceux qui refusent ces injections expérimentales, il n’est pas éthiquement justifiable d’envisager, dans le cas d’une obligation vaccinale universelle, de les priver de la possibilité de travailler ou d’étudier, portant ainsi atteinte à d’autres droits fondamentaux : droit au travail (art. 23 de la Déclaration universelle des droits de l’homme) et donc impossibilité de subvenir aux besoins vitaux (droit à la vie), droit à l’éducation (art. 26), droit de ne pas être inquiété pour ses opinions (art. 19), droit à la liberté (art. 3), …Le projet politique et moral semble être manifestement de supprimer les droits et libertés fondamentales au nom du bien collectif… Qui serait chargé de définir ce bien collectif ? Des « experts en bien collectif » ? Qu’en est-il de la démocratie libérale (à ne pas confondre avec la dictature de la majorité) ? Les libertés et les droits fondamentaux sont le résultat de luttes sociales qui ont permis d’ériger ces droits en remparts à la loi du plus fort.On est manifestement entré dans une stratégie de vaccination périodique sur une durée indéterminée au bénéfice du secteur pharma américain (prévisions de juillet de 33,5 milliards de dollars pour Pfizer en 2021) et au détriment des budgets publics : cela pose question d’une part sur les véritables enjeux au cœur de cette crise, sur l’état de notre démocratie, mais aussi – et surtout – sur l’incapacité prochaine prévisible des États à gérer les politiques de base et les défis futurs.L’efficacité de l’immunité naturelle est avérée scientifiquement et les données de mortalité, notamment les taux d’IFR, en sont un témoignage éclatant(16).
  • Le rôle de la prévention dans le renforcement de cette immunité naturelle est également avéré scientifiquement(17).
  • L’absence de couverture vaccinale universelle est accusée par certains de laisser le champ libre à des mutations du virus, toutefois d’autres avertissent qu’un taux de vaccination élevé en période de pandémie est susceptible de provoquer une pression sélective sur le virus favorable à l’émergence de variants résistants(18).
  • Il est en outre parfaitement illusoire de prétendre contrôler une zoonose par une couverture vaccinale humaine puisque les animaux domestiques et le bétail contribuent aux variations et mutations du virus(19).