Dossier – Big Pharma

Depuis les années 2000 la mortalité toutes cause augmente, cela est du aux générations des Baby Boomers qui arrivent à l’apogée de leur espérance de vie, rien que de très normal. Pour pouvoir comparer avec raison la mortalité d’une année sur l’autre, il faut appliquer un calcul de mise à niveau appelé « standardisation ». C’est ce qu’a fait le statisticien professionnel Pierre Chaillot sur son site « Décoder L’éco », site initialement dédié à l’économie. Les chiffres sont formels : il n’y a pas eu de surmortalité en 2020. Par contre, il y a une surmortalité inexpliquée à partir de 2021, c’est à dire depuis la vaccination Covid.

L’année 2020 a été l’année de tous les mensonges. Vous souvenez-vous de ces images d’hôpitaux encombrés où l’on devait transporter les malades d’un hôpital à l’autre en hélicoptère ? En janvier 2021, l’ATIH, l’organisme officiel des statistiques hospitalières, publie ses résultats pour 2020: le pourcentage de malades du Covid dans les hôpitaux n’a pas excédé 5%. Ce qu’a reconnu le gouvernement en essayant de minimiser l’importance de cette info. Quant aux performances du vaccin, il est successivement passé de 100% ou presque à peau de chagrin, moins de 10% selon le procureur général républicain du Texas, Ken Paxton, qui a mis Pfizer en accusation de tromperie. Tout a été étiqueté Covid en 2020, du simple rhume au cancer, selon les directives des ministères de la santé, alors que la létalité réelle du Covid-10 est très faible. Ajoutons que les tests PCR ne savent pas différencier un virus vivant d’un virus mort, ni le Covid d’une simple grippe, comme l’a reconnu le CDC US.

En 2022, Pfizer doit publier les données jusque-là confidentielles de ses dossiers de test, la justice américaine a tranché, et doit déposer sous serment devant le sénat américain. Et qu’apprend-on ? Il n’y a jamais eu de test sur la capacité d’empêcher la transmission, il n’y a jamais eu de test sur les femmes enceintes (échantillon statistique bien trop faible), et les comparatifs entre le groupe injecté et le groupe placebo étaient en fait défavorables : plus de morts dans le groupe des injectés, mais des morts écartés sous différents prétextes. Or, le slogan « si tu ne te piques pas, tu vas tuer grand-père » a servi de prétexte pour mettre en place une forme vicieuse de l’obligation vaccinale. Tout cela bâti sur des mensonges.

Au final, le Covid19 a principalement touché les personnes très âgées, plus de 85 ans, ou présentant de fortes comorbidités. En-dessous de 60 ans en tous cas, rien à craindre du virus, malgré le fait qu’on ait interdit tous les médicaments. Pire, on a pourchassé les médecins qui voulaient soigner : antibiotiques, hydroxychloroquine, artémisia, ivermectine … pourtant tous ont été l’objet de sérieuses études positives et sont quasiment sans effets secondaires. C’est un peu comme partir à la guerre sans armes parce que quelqu’un a dit qu’elles ne marchaient pas très bien, alors qu’on aurait pu se dire : si c’est un virus vraiment mortel, alors toutes les armes sont bonnes à prendre, et laissons faire les médecins … non ?

De nombreux scientifiques du monde entier ont dénoncé ce qu’il faut bien appeler l’arnaque du Covid, à commencer par Alexandra Henrion-Caude, Christian Perronne, Christine Cotton, Amine Umlil, Didier Raoult … Mais critiquer la Doxa n’est pas sans risque. Le Dr Umlil a par exemple perdu son poste parce qu’il a témoigné devant le sénat sur les dangers du vaccins Covid, et tous subissent la censure et les critiques acerbes de la presse … Alors on préfère se taire … dommage.

A ce jour, Pfizer, à lui seul, a été condamné à plus de 11 milliards de dollars de pénalités pour mensonges, tromperie et pratiques commerciales abusives. Ce n’est pas la seule entreprise dans ce cas, mais c’est sans doute le champion du monde. En tous cas, c’est le champion du monde de la négociation, puisqu’on ne sait toujours rien des contrats faramineux signés en toute obscurité, à coups de SMS, avec la commission européenne.