Titres: L’UE veut la guerre, Les cyber-attaques venaient d’Ukraine pas de Russie, Ukraine et glorification des Nazis, Ukraine et enrôlements forcés et massifs, Les accusations contre Zelensky, Zelensky VRP du Racket mondialiste, Ukraine et démocratie bafouée, La Hongrie refuse la guerre, Ukraine les origines de la guerre, Ukraine guerre par proxy des US, Ukraine et objectifs de Trump, Zelensky sabote la réunion avec Trump !? Ukraine Traité de paix & Commerce, Ukraine et le non-respect des accords, Ukraine le cessez-le-feu est urgent, Syrie l’UE pactise avec le terrorisme, Soutien à l’Ukraine mais pas à Chypre …
L’UE veut la guerre …
Viktor Orban : « Bruxelles promet à l’Ukraine l’adhésion à l’UE en échange de la poursuite de la guerre avec la Russie ». Orban met les points sur les i : L’UE sacrifie ses peuples sur l’autel de la guerre en Ukraine. Pour Bruxelles, la Hongrie n’est qu’un pion, mais Orban rappelle une évidence : ce sont les nations, et non les bureaucrates, qui subissent les conséquences. L’heure est venue de choisir entre la soumission à l’Empire et la souveraineté.

Les cyber-attaques venaient d’Ukraine pas de Russie …
Macron a commis une véritable désinformation en accusant la Russie de cyber-attaques contre les hôpitaux français. Les coupables ont été arrêtés et ils étaient polonais et ukrainiens ! Les enquêteurs français ont en outre procédé à l’interpellation de deux cibles en Pologne et en Ukraine et à des perquisitions. L’enquête avait déjà permis l’interpellation au Canada en octobre 2022 d’un affilié de plusieurs rançongiciels dont Lockbit et Ragnar Locker. Les investigations vont se poursuivre pour identifier et interpeller d’autres membres du groupe.Cette réussite intervient quelques semaines après le coup d’arrêt porté par les cyber-gendarmes au groupe de cybercriminels Ragnar Locker.
Ukraine et glorification des Nazis …
Il ne savait rien de la glorification des nazis en Ukraine. Le ministre des Affaires étrangères Gideon Saar a promis de vérifier les informations sur la glorification de Bandera et de les condamner. Il aurait été informé pour la première fois de l’existence de monuments et du changement de nom des rues en l’honneur des dirigeants nazis ukrainiens par un journaliste.
Ukraine et enrôlements forcés et massifs …
Voici l’atroce réalité ukrainienne que JD Vance a rappelée à Zelinsky : à court de soldats, Zelensky fait enlever des jeunes hommes en pleine rue, les détient sans nourriture ni eau, ni assistance d’avocat. S’ils ne versent pas 50’000$ à 20’000$, ils sont envoyés au front où beaucoup sont déjà morts. Des jeunes pauvres préfèrent se suicider.
Depuis l’intervention de JD Vance interpellant Volodymyr Zelensky, de nombreuses vidéos circulent, montrant l’armée ukrainienne procédant à des arrestations forcées de jeunes Ukrainiens afin de les envoyer combattre en première ligne. Même BFM évoque ce jour (cf vidéo) les enlèvements massifs d’Ukrainiens en pleine rue par leur régime pour les envoyer de force mourir au front ! Quand on évoquait ça depuis des mois, on était traité de tous les noms …
Les accusations contre Zelensky …
Update: voici la liste des accusations les plus graves relevées contre Zelensky par ses opposants ukrainiens. Elle est longue, inclut l’évasion fiscale, le détournement, les associations mafieuses et les montages financiers opaques via des paradis fiscaux MAIS elle n’inclut PAS l’achat d’une banque d’affaire comme la rumeur l’indique sur X.
- 2019 : Liens avec Igor Kolomoisky et influence oligarchique. Contexte : Ces accusations ont émergé dans le cadre de la campagne anti-corruption de Zelensky, mettant en doute son indépendance vis-à-vis des oligarques qu’il promettait de combattre.
- 2021 : Holdings offshore et évasion fiscale. En octobre 2021, les Pandora Papers ont révélé que Zelensky et ses associés de la société de production Kvartal 95 possédaient un réseau de sociétés offshore dans les îles Vierges britanniques, à Chypre et au Belize. Ces entités, créées dès 2012, ont été liées à l’achat de propriétés de luxe à Londres pour environ 7,5 millions de dollars, soulevant des soupçons d’évasion fiscale et contredisant ses promesses de transparence.
- 2021 : Persécution de l’Église orthodoxe ukrainienne
- 2022 : Sabotage du processus d’Istanbul. Oleksii Arestovych, ancien conseiller présidentiel, a affirmé qu’un accord de paix avait été conclu à Istanbul en mars 2022, mais que Zelensky l’avait rejeté, prolongeant ainsi la guerre.
- 2023 : Mauvaise gestion de la guerre (Contre-offensive et Bakhmut) ; Interférence dans la chaîne de commandement militaire ; Arrestation de Kolomoisky et associations mafieuses
- 2024 : Tendances autoritaires ; Interdiction légale de l’Église orthodoxe ukrainienne
Zelensky VRP du Racket mondialiste …
“Zelensky & Co” : La plus grande lessiveuse du siècle. François Martin sur Sud-Radio remet les pendules à l’heure : L’Ukraine, c’est 1’000 milliards de business : blanchiment d’aides, détournement d’armes, vente des terres rares… et au centre de tout ça ? Zelensky, PDG et VRP en chef de l’opération.
- Il ne gouverne pas un pays, il gère une multinationale du racket, où chaque deal se paie en pots-de-vin. Plus question de “défendre la démocratie”, l’Ukraine est un marché où seuls les initiés touchent leur part. Et si demain la paix revenait ? Fin du business, fin de Zelensky. Voilà pourquoi il est prêt à tout pour prolonger la guerre. Et en Europe on l’appelle le nouveau Churchill… Non, Juste un caissier qui rend des comptes à ses parrains.
Ukraine et démocratie bafouée …
Zelensky s’est appuyé sur la loi martiale pour détruire, enfermer et spolier toutes les oppositions afin de se maintenir au pouvoir. Si la guerre est une excuse pour échapper aux élections et mener une dictature, ayons peur que cela n’arrive chez nous bientôt …
La Hongrie refuse la guerre …
La Hongrie lâche Bruxelles sur sa résolution sur l’Ukraine à l’ONU: l’UE se fissure selon ses lignes de fractures. « L’UE, c’est le parti de la guerre », a expliqué en substance le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto.
Ukraine les origines de la guerre …
«Ukraine-Russie: en marche vers un conflit général ?» avec Jacques Baud – ancien membre du renseignement stratégique suisse et ex-chef de la doctrine des opérations de maintien de la paix à l’ONU. Auteur de nombreux best-sellers aux éditions Max Milo, parmi lesquels « Gouverner par les fake news » et « Opération Z ».
- Les américains veulent se débarrasser du dossier Ukraine. Il n’y a pas eu jusque-là de négociation US/Russie, les US veulent être moteur d’une négo entre l’Ukraine et la Russie, mais ils pensent que Kiev veut juste une trêve (pour se refaire?) et que l’UE va tout faire pour saboter la paix
- La haine de l’UE pour la Russie dépasse le désir de paix ; il n’y a plus de contacts diplomatiques. Le but des Européens (NDLR: et des US démocrates) est de découper (dépecer) la Russie en différents Pays. C’est un réveil brutal pour l’UE qui n’a pas prévu le revirement des US et se trouve désemparée
- Les Russes ont toujours dit que leur objectif était la démilitarisation et la dénazification de l’Ukraine, et la protection des populations russophones de l’est. C’est une guerre d’attrition. Toute prolongation de la guerre est une victoire pour les Russes, c’était prévisible.
- Quel objectif l’UE veut-elle atteindre ? Juste continuer à se battre ? Le projet n’a jamais été défini. C’est quoi une victoire pour l’Ukraine ? Une défaite pour la Russie ? Les Russes veulent la garantie de la protection future des populations russophones.
- Imaginer une invasion de l’Europe par les Russes est une bêtise. On a passé 3 ans à dire que les Russes étaient finis, affaiblis, isolés, et maintenant ils sont très armés, dangereux et supérieurs à nous sur le plan militaire.
- Le 24 mars 2021, Zelensky a signé un décret pour la reconquête de la Crimée et du sud du pays, puis rassemblé son armée sur la frontière du Donbass. Les Russes ont alors compris qu’il allait y avoir une offensive contre les 2 régions autonomistes (souhaitant conserver la langue russe en particulier).
- Un document de l’International Crisis Group, géré par Soros et la Suisse, montre l’intensification du bombardement sur le Donbass jusqu’en février 2022. Poutine reconnait alors l’indépendance des républiques de l’Est afin qu’elles puissent demander de l’assistance, en vertu d’un principe des Nations Unies.
- Les pays Baltes, comme la Lettonie par exemple, ultra-nationalistes pour ne pas dire plus, traitent leurs ethnies russes comme des sous-citoyens, même phénomène qu’en Ukraine d’ailleurs, et ceux-là craignent la puissance Russe et redoutent probablement une intervention russe. Cela s’est déjà produit en Ossétie du Sud, où les minorités russophones se sont fait bombarder par le gouvernement géorgien, et devenu un protectorat russe.
- La population russe voulait déjà que Poutine intervienne en Ukraine en 2014, ce que Poutine avait refusé de faire.
- Il n’y a pas eu d’invasion en Crimée, l’armée russe y occupait le terrain selon un accord qui avait été renouvelé en 2010, et a du intervenir suite aux exactions commises par les forces paramilitaires ukrainiennes. Suite à quoi 20’000 militaires ukrainiens ont fini par déserter l’armée pour rejoindre l’armée russe (les hommes « verts »).
Ukraine guerre par proxy des US …
Guerre par Proxy : «L’histoire secrète de l’implication des Etats-Unis dans la guerre en Ukraine»: le New York Times admet que la Russie avait raison (sur tout). Le quotidien, qui s’est fait une spécialité de «révéler» la vérité avec 3 à 10 ans de retard (cf les bases de la CIA) s’est décidé à raconter comment le partenariat entre Washington et le régime de Kiev est devenu après 2022 «extraordinaire en matière de renseignement, de stratégie, de planification et de technologie».
- C’est à dire comment les Etats-Unis ont mené opérationnellement leur guerre par proxy contre Moscou, ce que l’Empire du mensonge, bien appuyé par sa propagande, niait jusqu’il y a pas si longtemps encore. Le NYT nous apprend donc que la garnison de l’armée américaine de la base de Wiesbaden en Allemagne, est devenue le «centre névralgique» de cette coopération. Ce qui, au passage, légitime de manière éclatante les inquiétudes de Moscou quant à l’installation de bases de l’OTAN à ses frontières, qui constituent bien une menace à son encontre puisqu’elles sont utilisées pour lui faire la guerre. (Ce que dit la Russie depuis des années). Qu’y ont fait les Américains? Définir les cibles russes. Les «points d’intérêt» préfère dire dans son langage orwellien Washington, qui est pourtant devenue ainsi partie intégrante «de la chaîne de mise à mort», selon les termes employés par un responsable européen. (Ce que dit la Russie depuis des mois). Toutes les frappes des HIMARS ont été effectuées avec l’appui opérationnel et la validation de Washington. (Ce que dit la Russie depuis des mois). Washington a coordonné plus de 100 frappes ATACMS en Crimée, dont certaines ont fait des victimes civiles. (Ce que dit la Russie depuis des mois). Les frappes longue portée en profondeur du territoire russe avec des armes américaines, autorisées en 2024 par les Etats-Unis, n’ont été possibles que grâce au données de ciblage fournies à Kiev par Washington. (Ce que dit la Russie depuis des mois). Sous Joe Biden, Washington a «autorisé des opérations clandestines» et «des conseillers militaires américains ont été envoyés à Kiev, puis autorisés à se rendre au plus près des combats», poursuit le NYT, qui estime leur nombre à plusieurs dizaines. (Ce que dit la Russie depuis des mois). En d’autres termes, le NYT vient de «révéler» à son audience occidentale ce que dit la Russie depuis des mois. Ce qui devrait pousser tout le monde à s’intéresser sérieusement à ce que dit Moscou des causes profondes du conflit.
Ukraine et objectifs de Trump …
Jacques Sapir, économiste et géopolitologue réputé : » Trump veut se débarrasser de l’Ukraine, pour se pencher sur ses autres priorités, régler le conflit au Moyen-Orient, restaurer l’économie, lutter contre la Chine, stopper l’immigration illégale ». Trump rectifie aussi le narratif sur la guerre en Ukraine en reconnaissant la provocation causée en 2014 par le soulèvement de Maidan, organisé par l’OTAN et l’extrême-droite ukrainienne, par le non respect des accords de Minsk sir l’autonomie des provinces et l’utilisation de la langue russe, et l’agression militaire contre les régions russophones ».
Zelensky sabote la réunion avec Trump !? …
Voici les coulisses de la rupture entre Trump et Zelensky : Un accord en or saboté et une Ukraine isolée ! On croyait avoir tout vu en matière de diplomatie, mais la dernière visite de Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche a marqué un sommet d’amateurisme et de maladresse. Dans un moment de bravoure mal placée, Zelensky a soudain décidé d’exiger une chose impensable : l’envoi de troupes américaines en Ukraine. Une demande qu’il savait parfaitement inacceptable pour Trump. Le résultat ? Un arrêt net des négociations, une conférence de presse annulée et une voiture déjà prête pour expédier Zelensky hors de la Maison Blanche.
Il faut reconnaître à Vincent Hervouët d’être le seul journaliste français à évoquer l’insulte murmurée par Zelenski (« fils de pute » en russe) à l’égard de JD Vance dans le Bureau Ovale. Le reste de la presse française a caché ce détail important.
Jacques Sapir a parfaitement raison ! Les russophones, dont il fait partie car son père est né à Moscou, ont bien entendu Zelensky lancer en russe au Vice-président JD Vance, » fils de pute ». Conséquence immédiate : arrêt des livraisons d’armes américaines à l’Ukraine et privation des renseignements militaires fournis par les satellites et les avions awacs. Cela coûte des centaines de morts ukrainiens supplémentaires chaque jour.
Zelensky, un comédien sans réelle expérience en affaires ou en diplomatie, ne comprenait pas ce qui se passait. Trump évoquait un remplacement de l’OTAN, garantissant la sécurité de l’Ukraine sans entraîner les États-Unis dans un conflit sans fin. L’accord commercial a été saboté par Zelensky, qui a tenté à la dernière minute d’y inclure de nouvelles exigences. Dommage, l’accord aurait pu être signé hier, cette erreur fatale a gâché une opportunité historique.
Selon Hanania, la vidéo de dix minutes de la rencontre, largement diffusée, ne rend pas suffisamment compte du contexte de la conversation de quarante minutes qui a précédé l’échange plus houleux. Il souligne que les discussions initiales ont été relativement calmes, Trump et son conseiller, J.D. Vance, présentant leurs arguments sans confrontation directe avec Zelensky. Au cours de ces discussions, Hanania affirme que Zelensky a tenté de dépasser les paramètres d’un accord existant, répondant aux questions de Trump par de vagues généralisations sur les négociations et le conflit en cours avec la Russie.
Clash Trump/Zelensky : ce qu’il s’est réellement passé ! – Alain Juillet, Ancien directeur de la DGSE, en charge de la mise en place de l’intelligence économique au sein du SGDN (Secrétariat général de la défense Nationale), spécialiste du renseignement et de l’intelligence économique. Il y a d’abord la tenue vestimentaire négligée de Zelensky qui n’a pas été appréciée, et cela a été aussi relevé par un journaliste. Ensuite, il a ajouté des demandes de garanties à l’accord qui était déjà prêt à être signé, alors que la présence américaine sur place pour exploiter les mines était suffisante et déjà négociée ainsi. Enfin, Zelensky a confondu Trump avec Biden …
Un traquenard organisé par Trump et Vance, ou un Zelensky muni de son arrogance obstinée qui a mis le feu aux poudres ? Il est maintenant nécessaire de mesurer ce que Trump vient de faire. Il vient d’offrir aux USA une sortie de la catastrophe ukrainienne. Quant à l’UE, après avoir menti jour après jour sur « l’inévitable victoire ukrainienne », et sur l’effondrement de la Russie, leurs « élites » dirigeantes se retrouvent confrontées à un problème terrible : ce sont elles qui vont devoir récupérer et gérer le pot de pus ukrainien.
Ukraine Traité de paix & Commerce …
Jacques Baud commente le virulent affrontement entre Trump et Zelensky à la Maison Blanche ! Trump a découvert que le marché proposé par Zelensky était un marché de dupes. Peu de terres rares en Ukraine en réalité, et plutôt dans la partie « Est » sous contrôle russe, et en contrepartie, ce deal aurait obligé Trump à s’investir en Ukraine, ce qu’il ne veut pas … Autre sujet : ce qui a déclenché l’intervention russe, c’est le décret signé par Zelensky 1 an avant prévoyant la récupération de la Crimée, et l’amassement de colonnes militaires ukrainiennes le long de la frontière
Zelensky a secrètement signé un accord de 100 ans sur les ressources avec le Royaume-Uni le 17 janvier. Pendant ce temps, il poursuivait les discussions avec les États-Unis, les induisant en erreur alors qu’il était déjà engagé avec le Royaume-Uni, jouant essentiellement sur les deux tableaux … jusqu’à ce que « Trump découvre qu’il est manipulé », selon l’officier du renseignement américain Tony Shaffer.
Ukraine et le non-respect des accords …
Bulletin de documentation n°27 / mars 2022 : la situation militaire en Ukraine. Jacques BAUD, Ancien colonel d’État-major général, ex-membre du renseignement stratégique suisse, spécialiste des pays de l’Est.
- En 2014, je suis à l’OTAN, responsable de la lutte contre la prolifération des armes légères, et nous tentons de détecter des livraisons d’armes russes aux rebelles afin de voir si Moscou est impliqué. En dépit d’allégations assez grossières, on n’observe aucune livraison d’armes et de matériels militaire de Russie. Mais, juste après avoir signé les Accords de Minsk 1, le président ukrainien Petro Porochenko lance une vaste opération antiterroriste contre le Donbass. Bis repetita placent : mal conseillés par des officiers de l’OTAN, les Ukrainiens subissent une cuisante défaite à Debaltsevo qui les oblige à s’engager dans les Accords de Minsk 2…
Quelques heures après l’accord Trump-Poutine, le régime de Kiev frappe une installation énergétique en territoire russe. Accord, rappelons-le, dont le seul élément tangible est un cessez-le-feu de 30 jours précisément sur les installations énergétiques. Un bras d’honneur d’autant plus marqué que le pipeline visé est exploité par le Caspian Pipeline Consortium qui compte parmi ses partenaires, les américains Chevron et Mobil. «Il s’agit clairement d’une provocation préméditée par le régime de Kiev visant à faire échouer l’initiative de paix du président américain », a commenté l’armée russe.
Ukraine le cessez-le-feu est urgent …
Ancien ministre et spécialiste des questions internationales, Pierre Lellouche a évoqué le sort de l’Ukraine après l’altercation entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky : «Le moment est venu d’aller vers un cessez-le-feu». La guerre, il faut m’expliquer, pour quoi faire, quel est l’objectif, quelle est la suite ? Et il faudrait savoir, la Russie a mis 3 ans pour grignoter quelques kilomètres, comment peut-on l’imaginer demain matin à Paris ou à Berlin ?
Ukraine/Russie : la paix est-elle possible ? Avec Pierre Lellouche, ancien député, spécialiste questions internationales.
Syrie l’UE pactise avec le terrorisme …
L’épuration continue en Syrie ! Un millier de civils alaouites déjà massacrés par le nouveau régime islamiste de HTC, soutenu par les mondialistes, chouchouté par Macron et l’UE ! Les chrétiens sont aussi dans le collimateur ! L’ONU dit même « recevoir des rapports extrêmement inquiétants sur des tueries » !
Massacre en Syrie : Emmanuel Macron et Jean-Noël Barrot accusés par l’opposition d’avoir été naïfs. Alors que 1’068 morts sont déjà recensés en Syrie, la position de la France est vivement critiquée. L’opposition accuse Emmanuel Macron et son gouvernement d’avoir été naïfs face au président par intérim de la Syrie, Ahmad al-Chareh, soupçonné de laisser faire ces violences. L’invitation du dirigeant syrien à l’Élysée suscite également de vives réactions.

Le Fils-à-Papa et le tueur de Damas. Notons au passage le signe de ralliement mondialiste pour le règne du chaos. Barrot juge « inacceptables » les crimes de masse d’Al-Charaa, chef du HTC, alors qu’il s’est rué bêtement à Damas il y a 2 mois pour le féliciter d’avoir chassé Bachar Al-Assad. Le HTC était pourtant déjà classé comme organisation terroriste! Les forces du nouveau régime dispersent des manifestations en tirant à balles réelles à Damas après qu’elles soient sorties pour dénoncer ce qui se passe sur la côte syrienne. SYRIE : Protestations en cours à Damas contre le massacre des civils perpétré par les gangs takfiris dominés par le HTS, mouvement du terroriste qui dirige actuellement le pays, Muhammad Al-Joulani, alias Ahmed Al-Chaara.

Donald Trump en 2015 avait déjà tout compris : « Le problème en Syrie, c’est que nous n’avons aucune idée de qui est l’autre camp. Peut-être que nous sommes mieux avec Assad. Nous leur donnons (aux rebelles) des armes et des munitions, mais pour moi, Assad a l’air mieux que l’autre camp« . Comme il avait raison !
2014: Poutine expliquait soutenir Bachar El-Assad pour éviter que les islamistes terroristes prennent le pouvoir en Syrie et que ce pays devienne un nouvel Afghanistan qui menacerait toute l’Europe. Nos « héros » dirigeants de l’UE ont provoqué exactement ce que Poutine redoutait.
Vincent Hervouet très remonté sur la dernière aide financière de l’UE à la Syrie … Les européens ont donné 6 milliards à un homme qui était, il y a 6 mois, ministre des affaires étrangères de l’organisation djihadiste considérée comme terroriste, obédience d’Al-Qaïda, sans rien lui demander en retour, et une semaine après le pire pogrom connu dans l’histoire récente. La Syrie, une milice à la solde du pouvoir a exterminé 1’500 chrétiens et alaouites, qu’ils sont allés chercher jusqu’à dans leur lit. Et on a entendu Mme Ursula Von Der Leyen dire comme nous sommes heureux de vous accueillir, comme l’espoir renait en Syrie, c’est extravagant comme façon de nier le réel ».
Soutien à l’Ukraine mais pas à Chypre …
« Cela fait 50 ans que nous avons subi une invasion de la Turquie dans mon pays, Chypre. Pourquoi l’UE fait plus pour l’Ukraine que pour ses propres membres ? ». Une question comme toujours fort à propos de l’eurodéputé à suivre, Fidias Panayiotou, qui suscite une réponse totalement lunaire de la technocrate de garde au Parlement: « L’Ukraine se bat pour la démocratie européenne ». Ça doit aussi être pour ça que Bruxelles n’a jamais réagi au sabotage de Nord-Stream.