L’ANSM freine des 4 fers pour valider l’Ivermectine

Sous pression, l’@ansm a décidé d’étudier le dossier Ivermectine pour soigner les malades.

  • L’ANSM ne rendra à priori son avis que dans 6 mois.
  • Pour le Remdesivir, toxique, quelques semaines ont suffi.
  • Scandaleuse non assistance à Français en danger

Gérard Maudrux : L’Ivermectine au Conseil d’Etat

L’ANSM a expliqué que la première étape était d’écrire aux 8 labos bénéficiant de l’AMM, ils avaient 3 mois pour renvoyer un dossier scientifique pour cette RTU, puis une fois le rapport fait, il leur était renvoyé avec 1 mois pour faire leurs observations… bref, 6 mois minimum. Le juge, qui avait bien compris notre problème, a alors posé la bonne question qui fâche : avez-vous fait cette première démarche et écrit ? Après un petit silence gêné, réponse non. Non mais nous allons le faire sous 8 jours. 

Nous avons alors fait remarquer que pour le Remdesivir, la décision a été prise non en quelques mois, mais en quelques semaines, alors qu’il est plus difficile d’obtenir une ATU (Autorisation) qu’une RTU, car la RTU concerne des médicaments aux effets connus, ayant déjà une AMM, alors que l’ATU concerne des médicaments sans AMM. 

Pendant ce temps, l’Inde distribue déjà des kits de traitements précoces à base d’ivermectine, et ça a l’air de fonctionner….

Pourquoi nos autorités de santé ne veulent-elles pas entendre parler de traitements ?

Julia Cerisi : L’efficacité de l’ivermectine prise en prévention est à 90 %; ce fait conduit-il à une non validation de fait des vaccins en phase d’essai ?Jean-Bernard Valade : C’est exact . Les autorités de santé ne peuvent délivrer une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) provisoire pour un vaccin QUE s’il n’y a pas de traitement pertinent.