Vaccins et consentement « pas si éclairé que ça » par Gérard Maudrux

Le consentement éclairé s’est développé surtout dans deux domaines : les expérimentations, et la chirurgie, c’est à dire les domaines à risques avérés, non prévisibles et pouvant être graves, voire mortels.

Gérard Maudrux : Vaccins et consentement « éclairé

Nous venons de voir que, pour la vaccination des enfants pour le Sars-Cov-2, il faut trois consentements : les deux parents, et l’enfant qui doit s’exprimer librement.

Le message est très clair : « Si demain il y a problème, c’est vous le responsable. Vous avez été informés, vous avez signé, nous n’y sommes pour rien. Vous avez pris vos responsabilités ».

Mais sommes-nous vraiment informés ? Un exemple : l’ARN messager reste dans le muscle deltoïde, dixit l’Inserm et les autorités. Qu’ont écrit Pfizer et Moderna dans leurs études que les autorités ont occultés ? « Nous avons retrouvé nos billes dans tous les organes, y compris reproducteurs ».

Alors, bien « éclairé » le consentement ?

Au sujet de l’ONIAM … et des indemnisations

On se décharge donc du pénal avec le consentement éclairé, mais pour l’indemnisation, qui prend en charge et comment, si ce n’est pas les laboratoires ? Est-ce l’Etat ? Comme l’écrit le Ministre, c’est l’ONIAM, Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales. 

Les victimes de la campagne de vaccination du H1N1, ont pu toucher du doigt les qualités de cet organisme. En effet, ce vaccin a été à l’origine de plus de 2 000 narcolepsies en Europe. 12 ans après, une bonne partie des victimes, porteur d’une maladie invalidante et incurable, sont toujours au tribunal pour obtenir gain de cause, et ceux qui ont été indemnisés l’ont été à des tarifs dérisoires comparés aux indemnités habituellement attribués par les tribunaux.

Cerise sur le gâteau, savez-vous qui finance cet ONIAM ? Le financement de l’organisme est assuré par les cotisations sociales, c’est à dire par les victimes. C’est beau non ?