Quand l’OMS suit les traces chinoises sans retenue, écartant toute logique et niant quelques vérités scientifiques

Analyse des décisions autour du confinement : quand l’OMS suit les traces chinoises sans retenue, écartant toute logique et niant quelques vérités scientifiques …

Empereur nu : La mystification construite autour du confinement général par le Parti Communiste Chinois

  1. C’est sur l’ordre de Xi Jinping que furent prises les première mesures de confinement, et c’est l’OMS qui s’assura que celles-ci deviennent une politique globale, mais sans que cela fasse l’objet d’analyse ni de raisonnement scientifique.

Les partisans du confinement justifient souvent leurs mesures en les comparant à ce qui fut tenté au cours de la Grippe espagnole, il y a un siècle [1]. Mais un examen réaliste des efforts accomplis pour atténuer les effets de la Grippe espagnole révèle que rien de comparable n’a été imposé. Selon l’arrêt rendu par le Juge William S. Stickman, (Cnty. of Butler v. Wolf) [2], qui s’appuie sur les travaux d’éminents historiens :

Lorsque ce pays [les USA] a dû faire face à de nombreuses épidémies et pandémies, les états et les gouvernements locaux ont eu recours à divers interventions pour y répondre, mas il n’y a jamais eu de confinement intégral de toute une population — et encore moins pour une longue période indéfinie… [3] Si, à l’évidence, les états et les gouvernements locaux ont restreint certaines activités pour une période limitée dans le but d’atténuer les effets de la Grippe espagnole, il n’existe aucune trace d’une mesure comparable à celle de l’imposition du confinement d’une population dans son intégralité en réponse à cette maladie ni à aucune autre au cours de notre histoire.

Non seulement le confinement pour faire face à une épidémie ou une pandémie est dépourvu de précédent historique dans l’histoire étasuniennes, mais il n’est même pas mentionné dans les récentes orientations proposées par le Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des USA.

  • 2. L’institution académique qui a eu le plus d’influence pour les modélisations épidémiologiques du Covid-19 se décrit elle-même comme « le meilleur partenaire académique de la Chine en Occident » ; elle fut aussi celle qui, de très loin, a proposé les modélisations les plus alarmistes et les plus fausses.
  • 3. Les recommandations d’effectuer des ventilations mécaniques artificielles précoces, dont les conséquences furent mortelles, venaient de Chine