Le CO2 est-il responsable du climat ?

Titres : plus de 1’600 scientifiques dont 7 prix Nobel contredisent la théorie du GIEC du réchauffement climatique, les calculs scientifiques du GIEC sont des modèles mathématiques très critiquables, le consensus climatique n’existe pas et est basé sur une arnaque, le CO2 est bon et nécessaire pour la nature, les phénomènes météo extrêmes sont en baisse, le réchauffement climatique est un idiot utile pour les besoins de l’industrie, le cycle de la température a des causes naturelles, rien n’empêchera l’arrivée de la prochaine glaciation …


L’irradiance solaire explique le réchauffement climatique …

Un document de 30 pages sur le climat tant attendu a été publié aujourd’hui. Il s’agit d’une étude fondamentale, qui démontre par des observations et des mathématiques que c’est le Soleil (et non le CO2) qui détermine le climat de la Terre ! Notre analyse a révélé que la diminution observée de l’albédo planétaire ainsi que les variations signalées de lirradiance solaire totale (TSI) expliquent 100 % de la tendance au réchauffement climatique et 83 % de la variabilité interannuelle du GSAT, comme l’ont montré six systèmes de surveillance par satellite et au sol au cours des 24 dernières années.



La science contredit la doxa du changement climatique …

Changement climatique: la science du climat qui contredit le récit des médias. Dans une présentation rigoureuse autant qu’éclairante, le professeur Eric Verrecchia, biogéochimiste, géographe-physicien et géologue, spécialiste du carbone, nous présente la science d’un côté, le récit de l’autre, et nous aide à prendre la mesure, parfois inquiétante, de l’écart entre les deux.

  • Une science a besoin de théories discordantes. Actuellement, nous vivons sous une chape de plomb, pour ne pas dire une censure, ce qui est anormal dans nos démocraties occidentales.
  • Le GIEC (IPCC), émanation de l’ONU, est un organisme politique. Il est constitué d’un bureau 30 personnes qui ne sont pas eux-mêmes des experts. Le GIEC ne fait pas ses propres recherches, mais choisit des publications existantes (favorables à ses thèses) ainsi que les experts externes qui font écrire les rapports. Pour les décideurs, on passe à un document de synthèse de 34 pages sur les 4’000 du rapport technique. On trouve des contradictions notoires entre le document technique (difficile à lire, et donc peu lu) et le résumé final, en particulier sur les incendies où le document technique déclare une baisse de 20% des observations et non une hausse.
    • Des tricheries sont utilisées par certains médias (Nature, Lancet) pour tenter de démontrer que la chaleur tue, alors que c’est le contraire, le froid tue plus que la forte chaleur. La balance bénéfices/risques n’est pas calculée de manière honnête. Les zones les plus denses sont chaudes, et un changement de 2° ne changera pas grand chose (voir courbe).
  • Les simulations du GIEC proposent diverses tendances, dont les pires sont basées sur des données irréalistes, mais cela a été repris par la presse et les climatologues comme une perspective réaliste si rien n’est fait, mais c’est faux. Aujourd’hui, les tendances qui se dessinent donneraient raison à une voie bien moins pessimiste.Un système de nature chaotique ne permet pas de prévisions. Des modèles alternatifs récents montrent que les scenarios alarmistes ne sont pas valides, et que la situation serait gérable.
  • Le CO2 disparait de l’atmosphère au bout de 4 à 5 ans, selon la majorité des études scientifiques. Le GIEC le confirme. Certains sites désinforment à ce sujet, comme le site de la RTS. Seul le temps d’adaptation est inconnu (impacts sur les modifications de l’atmosphère). Le CO2 est l’ingrédient principal de la photosynthèse. Une étude de 2016 confirmer le verdissement (LAI) constaté de la planète, et moins de 4% constaterait un brunissement. Le CO2 serait responsable de ce verdissement à hauteur de 70%. Reverdissement reconfirmé en 2020 dans 2 études importantes. On note parallèlement un fort accroissement de la production de céréales.
    • Les études montrent une diminution depuis 1990 des surfaces brulées par les incendies. On note une exception statistique notable pour l’année 2023, qui correspond à une forte augmentation des incendies volontaires, et à un phénomène exceptionnel de « El Nino ». En Europe, le système copernicus montre une stabilisation, voire un descente de l’indice des terres brulées selon les pays, et une nette décroissance en moyenne C’est identique pour beaucoup d’autres parties du monde, comme l’Amérique du Nord. Par contre, le GIEC évoque des périodes longues de sécheresse dans le passé, pour lesquelles il n’est pas possible d’imputer le rôle des combustibles des voitures. Mêmes constats pour les cyclones, leur puissance ou leur fréquence.
  • Dans l’analyse bénéfices / risques, on sous-estime fortement le cout écologique de l’industrie minière pour aller vers le tout-électrique, les dégâts sur la faune de l’éolien, et les ravages économiques générés par la politique du Net-Zero. L’analyse de la mortalité due à la pollution de l’air montre que ce sont les pays en voie de développement qui sont touchés, à cause de l’utilisation de systèmes archaïques (chauffage, voitures, filtres, …), et seule l’utilisation des énergies fossiles leur permettrait de trouver de la croissance et du développement. Ce n’est pas la richesse qui créée la pollution, mais la pauvreté.
    • La propagande climatique semble heureusement évoluer depuis 2023 : publication dans une revue d’Etat en Norvège (office national de la statistique) du faible impact du CO2 sur le climat. Autre publication par 2 chercheurs grecs qui montre que le CO2 n’a pas augmenté l’effet de serre, qui reste majoritairement du à la vapeur d’eau. Enfin, une revue internationale d’importance (Journal of Climat) souligne que l’augmentation de CO2 n’a pas d’impact sur l transmissivité (blocage des rayons solaires qui repartent vers l’espace). Mais la censure continue d’œuvrer, comme en témoigne cet article des forages glaciers au Groenland qui témoignent que c’est l’élévation de la température qui augmente le taux de CO2 et qu’on essaie de faire retirer …
  • Informations plus techniques …
    • La climatologie est l’ensemble des observations météorologiques précises et prolongées sur 30 ans en un lieu donné. Le climat change donc en permanence sur une telle échelle de temps. Il y a aujourd’hui une confusion entre climat et météo. Pour expliquer le climat, on fait appel à, une quinzaine de disciplines. Ce besoin d’analyse sur le temps long est difficilement compatible avec le vocabulaire utilisé aujourd’hui dans les médias (mais pas par le GIEC) : changement, dérèglement, crise, urgence, apocalypse et effondrement climatique.
    • On catégorise 30 climats différents sur terre. Les résumer en une seule courbe limitée à la température est un raccourci dangereux.Le GIEC définit un climat en 40 paramètres environ, pour la plupart desquels il n’y a pas de signal de réchauffement climatique. En lisant la presse internationale, chaque pays se réchauffe 2 fois plus vite que les autres pays, ce qui doit s’interpréter ainsi : les continents se réchauffent plus vite que les mers qui baissent la moyenne.
    • Notons qu’une température moyenne n’a pas vraiment de sens, 15° est-ce la moyenne de 14° et 16°, ou 0° et 30° ? Il faudrait plutôt voir les maximales et minimales. Mais on estime à 0,15%/décennie l’augmentation de température au niveau de la planète, même si cela engendre des discussions : calcul basé sur les anomalies de température, localisation des capteurs actuels dans des ilots urbains plus chauds, qualité des relevés passés, valeurs simulées du passé (combler les trous), etc.
    • On utilise la température d’une année fictive de référence calculée comme une moyenne des années d’une période dite de référence. Selon le choix de la période de référence (ex: 1850-1900), selon le choix des mots (fin du petit age glaciaire ou début de l’ère industrielle), selon que l’on choisit des courbes basées sur les anomalies, ou sur une moyenne planétaire, les températures augmentent ou sont plutôt stables, et la perception de la réalité diffère.

Ils contredisent la théorie du CO2 …

L’astrophysicien Piers Corbyn réfute le conte de fées selon lequel le CO2 contrôle la température de la planète : «Le problème avec le discours actuel sur le changement climatique, c’est qu’il est faux. Il prétend que le dioxyde de carbone contrôle les températures mondiales, alors que les données réelles montrent que ce sont les températures mondiales qui contrôlent la concentration de dioxyde de carbone».

J. Clauser, lauréat du prix Nobel de physique 2022, met en cause la crédibilité du GIEC: “Le GIEC est l’une des pires sources de désinformation”. Et il a signé avec plus de 1’600 scientifiques “Il n’y a pas d’urgence climatique”. Le GIEC est un organisme politique, pas scientifique.

  • Selon les mesures, la concentration globale de CO₂ a brusquement augmenté vers 1940. Un événement qui ne correspond pas tout à fait aux modèles du GIEC. Une étude de l’université de Hambourg a analysé cette augmentation brève mais significative du CO₂. Les modèles climatiques et les affirmations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), indiquent qu’il y aurait eu une augmentation constante et régulière de la concentration de dioxyde de carbone (CO₂) dans l’atmosphère terrestre depuis le début de la révolution industrielle il y a environ 150 ans. Celle-ci serait uniquement due aux émissions d’origine humaine. Une publication de l’université de Hambourg, rédigée par Hermann Harde, vient contredire cette affirmation.

Ian Plimer, géologue : « Dans le passé, le taux de dioxyde de carbone était beaucoup plus élevé qu’aujourd’hui. Nous sommes actuellement à 0,04 %. Pendant la majeure partie des temps géologiques, il était d’environ 20 % ». « Et pendant cette période géologique où le taux de dioxyde de carbone était élevé, nous avons connu trois des six grandes périodes glaciaires. Il est donc clair que le dioxyde de carbone n’était pas à l’origine d’un réchauffement planétaire incontrôlé. »

  • Professeur Ian Plimer, 26/04/2022 : « Personne ne peut démontrer dans la littérature scientifique que les émissions humaines de CO2 sont à l’origine du réchauffement climatique. » Le professeur Ian Plimer est le géologue le plus connu d’Australie. Il est professeur émérite de sciences de la Terre à l’Université de Melbourne.

Climat : une nouvelle publication scientifique innocente le CO2. En réalité, on sait depuis longtemps, et c’est même l’un des arguments les plus solides du climato-réalisme, que les deux courbes sont légèrement décalées l’une par rapport à l’autre, dans « le mauvais sens » pour les alarmistes : la température précède le CO2, d’environ 800 ans en moyenne. Comme un effet ne peut pas précéder sa cause, la conclusion est claire : le CO2 n’est pas le moteur de l’évolution de la température.

« Les conditions [liées aux relations entre le Soleil et la Terre] qui ont provoqué les glaciations n’ont pas changé, on peut donc s’attendre à ce que l’Holocène ne soit qu’un autre interglaciaire », et que l’histoire humaine ne soit qu’un bref clin d’œil avant la prochaine glaciation, défendait également l’an dernier sur France Inter Phil Gibbard, secrétaire de l’ICS. Au grand Dam des écolos anti-CO2, qui pensaient pouvoir ainsi prouver que le CO2 avait modifié le climat de la terre.

De nouvelles études prouvent que les variations climatiques sont naturelles, cycliques et totalement explicables par le soleil …


Les calculs controversés du GIEC …

Un prix Nobel réfute la théorie du changement climatique et met en évidence un facteur ignoré. Le modèle du GIEC est une terre sans nuages, ce qui n’ a aucun sens. M. Clauser affirme que ce mécanisme de « thermostat » du aux nuages a une influence bien plus grande sur la température de la Terre que l’effet du CO2 ou du méthane.

Le réchauffement climatique dû à l’homme est une idéologie, pas une science, perpétrée par des scientifiques & politiques ayant des intérêts particuliers. Il faut cesser de considérer le GIEC comme un établissement scientifique et le prendre pour ce qu’il est : un lobby politique.

7 prix Nobel contestent le réchauffement climatique… il n’y a pas d’unanimité de la communauté scientifique sur le sujet.

  • Ivar Giaever, prix Nobel de physique 1973, l’un des initiateurs du manifeste de CLINTEL “Il n’y a pas d’urgence climatique” : il s’oppose tout particulièrement aux dévoiements de l’écologie à des fins politiques qu’organisent des individus comme Al Gore, Phil Jones ou James Hansen et des organismes comme le GIEC.
  • Robert B. Laughlin, professeur à l’Université de Standford et prix Nobel de physique 1998 pour ses travaux sur l’effet Hall quantique fractionnaire. Dans son essai What the Earth Knows sur le changement climatique, il affirme que “les données géologiques suggèrent qu’on ne devrait pas s’inquiéter du climat, pas parce que c’est sans importance mais parce que contrôler le climat est hors de notre portée”.
  • Kary Mullis, Prix Nobel de chimie. Il est sceptique de l’alarmisme actuel, pointant en particulier du doigt l’erreur de croire que l’on peut prévoir le climat à dix ou trente ans, alors que notre connaissance du climat est très parcellaire. Il affirme que “la climatologie est une plaisanterie”.
  • Elliott D. Bloom, physicien, professeur à la Stanford University, membre de l’équipe du Stanford Linear Accelerator Laboratory qui reçut le prix Nobel de physique, lauréat du prix Senior Scientist Award de la fondation Alexander von Humboldt, rappelle la complexité du climat, son imprévisibilité, l’inadéquation des modèles invoqués par le GIEC. La politique devrait laisser les mains libres à la science en ce domaine, ce qui n’est pas le cas actuellement.
  • Pierre-Gilles de Gennes, ancien Directeur de l’École de Physique et Chimie de Paris, Prix Nobel de Physique, et qui avait manifesté sa défiance vis-à-vis de Modèles informatiques
  • John Clauser, Prix Nobel de Physique 2022, et récent signataire du manifeste de CLINTEL initié par Ivar Giaever
  • Gary Becker, Prix Nobel d’Économie, Professeur Université de Chicago : « Ce qui menace la planète, ce n’est pas le réchauffement climatique, mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par des politiciens en quête d’une bonne cause. »
  • Claude Allègre, géochimiste, lauréat de nombreux prix de premier plan, dont l’équivalent du Nobel de la géologie, Institut de physique du globe (Paris), un des premiers à avoir soulevé la possibilité d’un réchauffement climatique: il souligne que l’on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d’origine humaine dans le réchauffement climatique et que d’autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d’eau, formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le plus important facteur est l’activité solaire selon Allègre, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2 ».
  • Steven Koonin, membre de l’Académie des Sciences  US, voire Frédéric Seitz, ancien Président de cette même Académie, non mentionnés dans la liste complète ci-après!.

Selon les mesures, la concentration globale de CO₂ a brusquement augmenté vers 1940. Un événement qui ne correspond pas tout à fait aux modèles du GIEC. Une étude de l’université de Hambourg a analysé cette augmentation brève mais significative du CO₂. Les modèles climatiques et les affirmations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), indiquent qu’il y aurait eu une augmentation constante et régulière de la concentration de dioxyde de carbone (CO₂) dans l’atmosphère terrestre depuis le début de la révolution industrielle il y a environ 150 ans. Celle-ci serait uniquement due aux émissions d’origine humaine. Une publication de l’université de Hambourg, rédigée par Hermann Harde, vient contredire cette affirmation.

L’un des plus grands experts mondiaux du climat a pris la parole pour avertir le public que l’affirmation du programme vert mondialiste selon laquelle le dioxyde de carbone est à l’origine du “réchauffement climatique” est “totalement fausse”. Le Dr Willie Soon, grand climatologue de renommée mondiale, s’attaque au mensonge du réchauffement climatique. Sa position fait suite à celle du prix Nobel de Physique John Clauser. L’expert explique que le changement climatique est un phénomène naturel qui se produit depuis des milliards d’années et qui n’a rien à voir avec les activités humaines. Par exemple, les glaciers ont fondu parce que le soleil est devenu plus brillant et a injecté plus d’énergie solaire dans le système climatique”, explique Soon.


Le CO2 est bon pour la nature …

Vivek Ramaswamy détruit littéralement l’agenda de l’arnaque climatique en 2 minutes : « La Terre est recouverte d’une plus grande surface verte aujourd’hui qu’il y a un demi-siècle ou un siècle, parce que le C02 est la nourriture des plantes. »

Le co-fondateur de Greenpeace, le Dr Patrick Moore : « Il n’existe aucune preuve scientifique définitive que le CO2 soit responsable du léger réchauffement du climat mondial survenu au cours des 300 dernières années. Mais il existe une certitude hors de tout doute raisonnable que le CO2 est la pierre angulaire de toute vie sur Terre, et que sans sa présence dans l’atmosphère globale… cette planète serait morte.»

Le professeur émérite de physique à l’Université de Princeton, William Happer, dénonce la folie de vouloir tuer la vie sur terre en réduisant le CO2. Il affirme que ceux qui disent ça veulent réduire la population à 1 personne sur 8.

Plus de 1’600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel, signent la déclaration « Pas d’urgence climatique ». Des scientifiques internationaux ont signé conjointement une déclaration rejetant l’existence d’une crise climatique et insistant sur le fait que le CO2 (dioxyde de carbone) est bénéfique pour la Terre, contrairement au discours alarmiste répandu.

Professeur Valentina Zharkova et le petit âge glaciaire qui a déjà commencé : l’astrophysicienne Valentina Zharkova explique qu’au lieu du CO2, c’est le Soleil qui provoque le changement climatique et qu’en raison de son activité décroissante, nous devrions nous préparer à une période plus froide.

  • « Le CO2 n’est pas un mauvais gaz », déclare Valentina Zharkova, professeur à l’université de Northumbria à Newcastle, au Royaume-Uni. Au contraire, souligne-t-elle, chaque jardinerie l’utilise dans ses serres pour rendre les plantes luxuriantes et vertes. « Nous avons en fait un déficit de CO2 dans le monde, et il est trois à quatre fois inférieur à ce que les plantes souhaiteraient », note-t-elle, ajoutant que la proportion de CO2 dans l’atmosphère a été à des niveaux beaucoup plus élevés tout au long de l’histoire de notre planète qu’elle ne l’est aujourd’hui.

Climat tout ça pour rien …

Christian Gérondeau sur son livre « Climat : tout ça pour rien ! » (@EdArtilleur) : « Tous les efforts que nous, Union européenne, faisons, ne servent à rien ! 92% des émissions de la planète ne dépendent pas de nous, mais avant tout des pays en voie de développement. Tout repose sur un mensonge »

Le constat est sans appel. L’Europe ne pèse quasiment rien dans les émissions de CO2. Mais sous la pression du totalitarisme vert, elle renonce au moteur thermique et gaspille des milliards dans les renouvelables. Résultat ? Une désindustrialisation et paupérisation massives.


Les phénomènes météo extrêmes en baisse …

Ian Palmer, géologue: “Ce qui m’effraie ce sont les mensonges relayés par les grands médias… Les données montrent que les ouragans, feux, décès liés au climat… n’augmentent pas, mais ils arrivent à faire germer exactement le contraire. 30 ans de propagande incessante sans bases démontrées”. L’oscillation décennale du Pacifique entraîne moins de cyclones quasi-équatoriaux dans le nord de l’océan Indien. L’étude révèle une baisse marquée de 43 % du nombre de cyclones de ce type au cours des dernières décennies (1981-2010) par rapport aux années précédentes (1951-1980).

  • Le seul moyen d’être publié sur le climat dans une revue comme Nature, c’est de “soutenir le récit catastrophiste et la politique de réduction de CO2” quitte à “induire le public en erreur. Si on s’écarte de cette formule on est rejeté et on doit s’exiler”.

Un nouveau rapport de l’Institut Fraser met en doute les affirmations selon lesquelles les phénomènes météorologiques extrêmes sont de plus en plus fréquents, estimant que les dires des gouvernements et des médias ne sont pas « irréfutables ».

  • « De nombreux types de phénomènes météorologiques extrêmes ne montrent aucun signe d’augmentation et, dans certains cas, ils sont en diminution » peut-on lire dans le rapport du 18 avril intitulé Extreme Weather and Climate Change (phénomènes météorologiques extrêmes et changement climatique). Le rapport met en garde contre le fait que les gouvernements ont adopté des « réglementations de plus en plus restrictives » à l’égard des consommateurs de produits énergétiques canadiens, sur la base d’affirmations dont la véracité n’a pas été prouvée, ce qui a eu des répercussions en matière de coûts sur l’économie canadienne et sur le niveau de vie des citoyens.

Steven E. Koonin, professeur de physique théorique et ex-conseiller scientifique de Barack Obama, a écrit  » Climat, la part d’incertitude « , essai dans lequel, sans remettre en cause un possible changement climatique, il interroge le supposé « consensus scientifique » sur les causes de ce changement et sur les actions envisagées par les rapporteurs du GIEC et les activistes écologistes pour y remédier.

  • Prédictions non abouties : « Plusieurs pays et villes pourraient disparaître sous les flots d’ici dix ans », assène le directeur du bureau de l’environnement des Nations unies en 1989. Les Pays-Bas, les Maldives, les Caraïbes, New-York et Venise, entre autres, seraient concernés. En 2004, The Guardian cite un rapport du Pentagone : « Certaines villes européennes seront noyées par la montée des mers et la Grande-Bretagne sera plongée dans un climat sibérien d’ici 2020. » En 2006, dans son documentaire Une vérité qui dérange qui lui vaudra, conjointement au GIEC, le prix Nobel de la paix, Al Gore prédit un océan Arctique sans glace en 2013, une montée des eaux de six mètres, la Floride et Pékin submergés par les flots d’ici à vingt ans. Il était prévu que l’archipel de Tuvalu allait disparaître sous les eaux. Sauf que… depuis trente ans le niveau des mers et des océans a augmenté d’environ 4 mm et les îles de l’archipel sont toujours hors de l’eau, voire se sont agrandies

François Gervais : « Le plus grand glacier du monde appelé la calotte antarctique qui comporte 90% de la glace mondiale ne fond pas. Il a même un petit peu augmenté même si localement certains glaciers fondent … ». Le physicien François Gervais, sans filtre sur @Tocsin_Media, au sujet de son livre : « Le déraisonnement climatique« .

“Ce qui m’effraie ce sont les mensonges relayés par les grands médias… Les données montrent que les ouragans, feux, décès liés au climat, etc. n’augmentent pas, mais ils arrivent à faire germer l’idée contraire. 30 ans de propagande incessante sans bases démontrées.”


L’arnaque du consensus climatique à 99% …

La fabrique de la grande mystification des « 99% des scientifiques pour l’origine humaine du réchauffement climatique », entre 10 et 30% dans la réalité ! Le fameux « consensus sur l’origine humaine du réchauffement climatique repose sur une publication de 2021 dite étude Lynas, basée sur 3’000 articles sur le climat analysés sur des mots clefs ou une lecture orienté du résumé. Mais les articles sceptiques ne renvoient pas à des mots clefs sceptiques dans le résumé, le scepticisme se trouve en conclusion, pas dans le résumé. Les vrais scientifiques font part de leur doute et refusent de prendre une position de certitude absolue. La preuve par l’analyse détaillée … Entre 70% ET 90% des articles scientifiques sur le climat ne prennent pas position sur la responsabilité humaine du réchauffement climatique. Mais ils ont été comptabilisés comme tels … Le consensus sur l’origine humaine du changement climatique évalué à 99,9 %.


Pas de consensus sur le CO2 …

Consensus sur le climat ? 31’487 scientifiques américains ont signé cette pétition, dont 9’029 titulaires d’un doctorat. « Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante que les émissions humaines de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre provoquent ou provoqueront, dans un avenir proche, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère terrestre et une perturbation du climat terrestre. »

« Avons-nous suffisamment de preuves scientifiques pour prouver que le CO2 émis par les hommes réchauffe la Terre ? ». Leur réponse est non. C’est la conclusion de l’étude que vient de publier l’Institut norvégien des statistiques, organisme officiel rattaché au gouvernement.

Les périodes de glaciation se déroulent sur des cycles de 100’000 ans, Les interglaciaires les plus chauds durent de 10’000 à 15’000 ans. Nous sommes maintenant à environ 11’000 ans de notre période interglaciaire actuelle qui pourrait bientôt se terminer ! Les changements climatiques sont dus à 7 paramètres principaux dont les 3 astronomiques.


Le concept flou de la température mondiale …

Le Chili et l’Argentine sont au cœur d’un sérieux coup de froid, à tel point qu’on n’avait jamais vu des températures aussi basses pour un mois de mai depuis 1950. Jusqu’à -14 degrés par endroits. Une masse d’air polaire a envahi ces pays d’Amérique du Sud. Ainsi, ce 26 mai encore, le thermomètre a chuté sous la barre des -10 degrés.


L’accumulation de neige en Antarctique dépasse à nouveau la moyenne …

Antarctique : fonte saisonnière inférieure à la moyenne sur 45 ans. L’accumulation de neige en Antarctique dépasse à nouveau la moyenne. En dehors de la péninsule antarctique, seule la plate-forme de glace orientale Roi Baudouin a connu une fonte supérieure à la moyenne. L’accumulation de neige est une fois de plus supérieure à la moyenne annuelle, réduisant ainsi l’effet de la fonte de la glace sur l’élévation du niveau de la mer.


L’océan Atlantique équatorial se refroidit à une vitesse record …

L’océan Atlantique équatorial se refroidit à une vitesse record et personne ne comprend pourquoi. Cela pourrait avoir une influence sur la météo du monde entier. Après quinze mois de surchauffe mondiale des océans, l’océan Atlantique équatorial semble avoir amorcé depuis mai le phénomène inverse, indique ce lundi le magazine américain “New Scientist”.


La grande barrière de corail s’agrandit …

La Grande Barrière de corail a enregistré sa troisième année consécutive de croissance corallienne record en 2023-2024. Le corail atteint désormais son niveau le plus élevé depuis le début des observations détaillées : une réalité soigneusement passée sous silence par les grands médias. Le blanchissement du corail, souvent brandi comme preuve de l’agonie du récif, est un phénomène naturel et temporaire. Les coraux, qui prospèrent entre 24°C et 32°C, se rétablissent rapidement après ces épisodes. Bien sur, les médias martèlent que la barrière de corail est toujours en grand danger et que tout cela est de la désinformation …


Le réchauffement est un prétexte utile …

Vous vous souvenez de l’incendie géant à la Teste-de-Buch l’année dernière ? Au même endroit, une entreprise canadienne va y forer 8 nouveaux puits de pétrole cette année. Voilà comment éteindre, non pas un feu, mais la contestation.. Je vous laisse faire vos propres déductions, mais ne soyez pas trop complotiste, c’est la faute au réchauffement climatique …


Les ignares de la climatologie …

Tout est bon pour accuser le réchauffement climatique, surtout chez des ignares comme Runacher … qui ne connaissent rien aux saisons. Agnès Panier-Runacher : « La situation de gel tardif illustre la question du dérèglement climatique. Ce sont plusieurs centaines de millions d’euros de pertes de récolte. Le gouvernement sera aux côtés des agriculteurs » … et les Saints de Glace de fin avril / début mai, ils sont morts ?


L’obscurantisme vert …

La vérité sur le réchauffement climatique, le CO2 et les écologistes de pacotille : extraits du livre d’Yves Roucaute, professeur d’université : « L’obscurantisme vert » Éditions du Cerf, 2022. Son ouvrage a évidemment été boycotté par les médias. Extraits proposés dans facebook par Jean-Claude Bourret.

  • Le taux de CO2 a toujours été supérieur à celui d’aujourd’hui, au cours des 460 derniers millions d’années, y compris pendant certains épisodes glaciaires. Le CO2, n’est pas une molécule polluante ou dangereuse, mais une source d’oxygène et d’énergie : ce gaz, que nous expirons en permanence (l’humain expire environ un kilo de CO2 par jour) est un bienfait pour l’humanité : il permet d’augmenter les rendements agricoles et de lutter contre les famines. Les écologistes, pour une partie, ne connaissent pas les dossiers, et profitent de l’inculture des peuples pour leur faire croire que le CO2 est responsable d’un réchauffement climatique et se faire élire au mépris de la vérité.
  • Il y a 2,5 à 3,8 milliards d’années les températures étaient supérieures à 55 degrés…et le taux de CO2, 1000 fois plus important qu’en 2022 ! Il y a 500 millions d’années,, le taux de CO2 était de huit à dix sept fois supérieur à ce qu’il est aujourd’hui. , soit 3000 à 7000 ppm (partie par million) contre 415 ppm en 2022. Lors de l’Éocène ( entre – 54 et – 49 millions d’années) , les températures moyennes étaient de 29°C sur terre , les mers étaient à 40°C, et le taux de CO2 de 1’600 ppm (partie par million, soit 4 fois plus qu’aujourd’hui ). Si l’on traduit les ppm (parties par million) en pourcentage « classique « , on obtient 0,044% de CO2 dans notre atmosphère en 2022, contre 0,2% il y a 49 millions d’années, soit cinq fois plus ). Le principal gaz a effet de serre est la vapeur d’eau, qui joue un rôle majeur dans le réchauffement climatique, avec le méthane. Il y a deux cents millions d’années (fin du Trias ) , 80% des espèces ont disparu, pour une cause non définie, alors que l’humain n’était pas né. Il y a 66 millions d’années, 76% des espèces sont à nouveau exterminées (y compris les dinosaures). Évidemment, ni l’humain, ni le CO2, ni les réchauffements et refroidissements climatiques naturels permanents sur notre planète, n’étaient « responsables. Entre deux glaciations, il y a 5,9 millions d’années arrive la « crise messénienne » : un réchauffement brutal qui dure…630 mille ans ! Le niveau des mers baisse de 150 mètres, et les températures de surface de la mer passent de 19 à 27 degrés. Puis, juste après le Messénien, vient le Pliocène inférieur (de- 5,3 à 64,7 millions d’années ), une période encore plus chaude ! Puis une période froide (entre -4,7 et – 4 millions d’années), puis encore une période de réchauffement, entre -4 et -3,5 millions d’années. Les températures sont supérieures de.. 8 degrés par rapport à celles d’aujourd’hui, et jusqu’à 15 degrés de + en Arctique. Le niveau des mers monte de 25 mètres ! Et le CO2 ? Entre 300 et 400 ppm (partie par million) contre 412 en 2022.
  • Toute l’Histoire du climat nous démontre qu’il n’y a AUCUNE corrélation entre le taux de CO2 et une variation de la température naturelle. Au Xème siècle, peu avant les croisades, commence « l’optimum climatique médiéval » ( de 950 à 1270 ) suivi d’un petit âge glaciaire de 1270 à 1500, suivi d’un nouveau réchauffement de 1500 à 1560, suivi d’un nouveau petit âge glaciaire, de 1560 à 1830, suivi d’un réchauffement, puis d’un refroidissement de 1870 à 1910, puis d’un léger réchauffement (environ + un degré en 120 ans) ; un nouveau refroidissement est attendu dans les années 2030/2040.
  • Dès Qu’un record de chaleur est battu, les écolos se précipitent pour nous expliquer que c’est la faute au CO2, donc à l’Homme, mais rien lorsqu’il s’agit de records de froid : -15,5 degrés à New York en 2014, -37 degrés dans le Minnesota, -48 degrés sur les grands lacs en 2019, -55 degrés en Sibérie en décembre 2020 à Ojmakon, -15 à Moscou, -38,9 à Oslo …
  • L’Histoire de notre planète est une oscillation naturelle permanente entre des périodes de réchauffements, souvent rapides et des refroidissements, et le niveau des mers a varié de…400 mètres en cent millions d’années (entre moins 150 m et plus 250 mètres par rapport à aujourd’hui)
  • Les « gaz à effet de serre » sont une conséquence et non une cause de ces variations naturelles, dues à de multiples facteurs, comme la position de la Terre par rapport au Soleil, aux éruptions volcaniques, à la tectonique des plaques, aux chutes d’astéroïdes etc.
  • Le GIEC, tarte à la crème des écolos, a été créé par des « croyants », des écolos qui, disposant d’importants budgets, n’en distribuent les prébendes qu’aux scientifiques qui font des enquêtes allant dans leur sens. Les scandales – peu connus – de manipulations de courbes et de conclusions ont été dénoncés par d’autres scientifiques qui n’ont pas voix aux médias mainstream…
  • Mais pourquoi cette « lutte contre le CO2 ».. .qui est bon pour notre planète, et sur lequel nous n’avons d’ailleurs aucun moyen d’action ? Pour faire des profits ! Les écolos bobos vont réussir à faire interdire les Diesels (qui émettent 10 fois moins de particules que les moteurs à essence, les pollutions dans les villes ne cessant de diminuer, avec des polluants qui ont totalement disparu, contrairement à ce que croient près de 90% des Français !). Derrière les écolos, il y a toutes les machines à cash : les fabricants d’éoliennes, de photovoltaïque , de voitures, d’avions, de mobilité électrique, etc. Il s’agit de relancer mondialement la consommation en faisant croire à une nécessité doublée d’une bonne action…et de se faire élire, pour vivre aux frais des naïfs.