Impacts médicaux des politiques sanitaires Covid et ARN modifié, aout 2024

Titres: L’Étude FAKE anti-Hydroxychloroquine RETRACTED, Les révélations Covid des RKI-Files, Vaccins Covid et infraction à la loi fédérale, Le décret Rivotril a tué en EHPAD …


L’Étude FAKE anti-Hydroxychloroquine RETRACTED …

L’étude délirante estimant à près de 17’000 le nombre de décès dus à l’hydroxychloroquine durant la première vague Covid vient d’être rétractée, « en raison notamment d’un manque de fiabilité des données » ! Les médias avaient passé des mois là-dessus, Molimard et les médecins de plateaux covidistes l’avaient utilisée massivement pour attaquer le Pr Raoult et les médecins qui soignaient les malades !

Vous savez ce qu’on dit : Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier. Même si la vérité met plus de temps, elle finit toujours par arriver Ce proverbe aujourd’hui est plus que jamais vérifié, il a fallu des jambes et surtout des cerveaux bien entraînés pour pousser la vérité vers le sommet. Tocsin reçoit deux cerveaux qui ont travaillé à faire éclater la vérité sur l‘hydroxychloroquine. Alors qu’en janvier 2024, une étude, publiée dans La revue Biomedicine & Pharmacotherapy), estimait que le traitement COVID par l’hydroxychloroquine avait entraîné 17 000 décès. L’organisation Bon sens.org a organisé un réaction scientifique : Professeur Perronne et le Professeur Zizi ont écrit une lettre de préoccupations à l’éditeur (letter of concern). Puis publié cette lettre dans un autre journal scientifique. Finalement la revue Biomedicine & Pharmacotherapy a rétracté son étude. L’avant-dernière semaine d’août, soit moins de huit mois après.

L’@Arcom_fr, le @conseildeonto, le @sup_recherche, le Conseil de l’Ordre, les présidents de @UniversiteLyon et @univbordeaux ont été saisis sur la fraude Pradelle Lega avec le copromoteur M Molimard et soutien de Me Peltier /Eolas. De fausses informations ont été colportées par ces personnes dans les médias depuis des mois, contribuant à la désinformation du public et jetant le discrédit sur la science française.

Autorités et covid-19 : l’illégalité indispensable pour protéger l’industrie pharmaceutique. L’agence ANSM, Agence Nationale de Sécurité du Médicament créée le premier mai 2012, suite aux échecs de l’ »AFSSAPS« , sa règle première et principale sera la transparence de l’instruction des dossiers et la mise à disposition du public des débats argumentés qui président aux décisions.

  • Fin 2020, début 2021, il existait une cinquantaine d’études sur l’ivermectine dans la lutte contre le Covid-19, quasiment toutes positives, dont deux en Ehpad en France, avec des résultats spectaculaires, une autre était en cours de réalisation pour l’OMS (via Unitaid), étude dont le responsable (Dr Andrew Hill de Liverpool) annonçait une réduction de 80 % de la mortalité dans les études qu’il avait consultées. Nous avions alors demandé à l’ANSM d’autoriser l’ivermectine dans l’indication Covid-19. Après un refus, nous sommes allés devant le Conseil d’État, et pour ne pas être condamnée, l’ANSM fit savoir 8 jours avant, qu’elle allait examiner le dossier. Après 3 mois d ‘ « étude du dossier », réponse négative. Elle a simplement attendu la position de l’agence EMA, Agence Européenne du Médicament, pour suivre cette position, dans la semaine qui a suivi. Conformément à la loi (Code de la Santé Publique), nous avons donc demandé à l’ANSM l’enregistrement ou la transcription des débats qui ont conduit à cette décision. Voici sa réponse : « de tels documents n’existent pas » !

Les révélations Covid des RKI-Files …

Plus d’une semaine après la publication des « RKI-files » non biffés sur la gestion de la crise du Covid-19 en Allemagne, la polémique enfle de plus belle, de nouvelles révélations venant nourrir une controverse déjà bien installée. L’une d’entre elles : en mars 2024, avant de publier les procès-verbaux de ses échanges avec le gouvernement fédéral de février 2020 à avril 2021, l’Institut Robert-Koch aurait préalablement modifié leur contenu, en plus de noircir certains passages, dénonce le Pr Stefan Hombourg auprès de « Epoch Times ». Pour l’universitaire, cette altération de la vérité est une action illégale qui, en droit allemand, constitue un délit de faux.

La politique du virus: ce que révèlent les documents fuités de l’État allemand (RKI Files). Les documents « fuités » de l’État allemand éclairent d’un jour nouveau la pandémie du Covid-19. Après le papier stratégique du ministère de l’Intérieur et les rapports du conseil d’experts du gouvernement fédéral, les documents issus de l’Institut Robert Koch (les « RKI Files »), divulgués fin juillet, sont particulièrement édifiants. Les 4’000 mille pages de rapports et les milliers de pages d’e-mails et de lettres, dont l’authenticité vient d’être confirmée par l’État fédéral, mettent en doute une grande partie des informations officielles diffusées pendant la pandémie. Loin de « suivre la science », comme le prétendait le gouvernement allemand, les fichiers du RKI montrent au contraire une politique fabriquant des « preuves » avec l’aide récalcitrante des experts, pour justifier après coup les décisions prises. Les conséquences politiques et juridiques risquent d’être considérables.


Vaccins Covid et infraction à la loi fédérale …

Lors d’un échange avec le Congressman Thomas Massie, un ancien haut responsable de la FDA avoue que les vaccins COVID-19 n’ont jamais été étudiés pour la transmission et que la FDA et les CDC ont enfreint la loi fédérale en les promouvant !


Le décret Rivotril a tué en EHPAD …

Décret Rivotril : Macron a décidé, par décret, que les personnes âgées devaient mourir. Ils ont liquidé plus de 30’000 personnes âgées à coup de rivotril. Et afin que les familles ne soient pas témoins que leur parents n’avaient pas le Covid il leur a interdit tout contact avec leurs parents morts seuls.