Censure et Santé Publique … Le 26 mai, en faisant marche arrière sur son interdiction de discuter l’hypothèse d’une fuite d’un laboratoire de virologie pour le Covid-19, Facebook a donc fait du bout des lèvres un aveu de culpabilité qui mériterait de le mener devant les tribunaux.
The Epoch Times : [Édito] Le jour où Facebook a rejoint la lèpre complotiste
Cet aveu est presque forcé, puisque la communauté scientifique, timide en 2020, affiche maintenant de façon de plus en plus ouverte ses soupçons sur les dissimulations du régime chinois et sur les étranges petits fragments d’ADN qui se promènent dans le génome du Covid-19 (et n’existent dans aucun autre coronavirus.)
Combien différente aurait été l’année 2020 si ceci avait pu être débattu plus tôt ! (ceci comme le reste, d’ailleurs)
De deux choses l’une, donc : soit Facebook est devenu ce 26 mai le plus grand réseau conspirationniste au monde, puisqu’il permet la transmission de « fausses informations », soit il s’est donné pendant plus d’un an, et à tort, le droit d’interdire au monde entier l’accès à des informations utiles sur la responsabilité du régime chinois dans la pandémie.
C’est malheureusement la seconde hypothèse qui tient, et qui illustre à quel point les géants de la « big tech », soit pour promouvoir leur propre vision du monde, soit parce qu’ils subissent des influences cachées et peu avouables, se sont progressivement arrogés le rôle de censeurs surpuissants, de constructeurs de vérités.