Qui doit-on vacciner ? balance bénéfices vs risques

Pour l’instant, la vaccination n’est pas obligatoire, il faut donc laisser aux gens la liberté de choisir, et d’en discuter avec leur médecin traitant.

Pour faire son choix, il est nécessaire de bien connaitre tous les chiffres, quels risques on prend à ne pas se faire vacciner, et quels risques on prend à se faire vacciner.

Le vaccin a probablement un intérêt pour les personnes qui risquent de développer une forme grave. On voit que plus on avance dans l’âge, plus les risques augmentent, notamment après 70/75 ans. Avant 50 ans, à part pour des comorbidités fortes (cancer, …) il n’y a pas de risque de forme grave.

Le problème des vaccins qui ciblent uniquement une protéine, au lieu de cibler le virus entier, c’est qu’ils deviennent inopérants dès que le virus mute. Or, les coronavirus sont connus pour muter, on le sait très bien.

Pour le vaccin Pfizer, il y a beaucoup d’effets secondaires, on n’avait jamais vu ça auparavant (étude qui vient de sortir dans la revue « nature »). C’est 2 à 3 fois plus que le vaccin contre la grippe. Il y a aussi des effets secondaires mortels.

Il n’est pas certain que les vaccins empêchent le virus de circuler. La seul étude dont on dispose à ce sujet porte sur le vaccin AstraZeneca, et cette étude n’est pas probante en terme de protection contre la contagion. C’est d’autant plus sujet à caution que ce vaccin ne cible qu’une petite partie du virus, et sera donc sans doute moins efficace sur les variants. Il semblerait quand même qu’il protège des formes graves.

Il faudrait donc cibler les personnes à risque, et parallèlement disposer d’un dispositif de surveillance efficace et continu. Il faudrait aussi avoir une recherche très active des foyers animaux, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Il faut commencer à soigner. Il n’y a pas que l’hydroxychloroquine, il y a les antibiotiques …